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- Catégorie : Annonces Telfer
Les Jeux MBA de 2018 sont officiellement terminés, mais le legs de cet événement de trois jours perdurera grâce aux 600 candidats au programme de MBA qui ont convergé vers Ottawa du 5 au 7 janvier des quatre coins du pays pour y participer.
Cette année, les Jeux MBA, dont l’organisation relève des étudiants, fêtaient leur 30e anniversaire. Pour la toute première fois de leur histoire, les Jeux ont eu lieu à Ottawa, plus précisément à l’École de gestion Telfer.
« Rencontrer tous ces concurrents passionnés et talentueux fut tellement gratifiant », affirme Emma Azzi, étudiante au programme de MBA Telfer et présidente des Jeux MBA de 2018. « C’était fascinant de voir la préparation de tant de mois culminer ici. »
En dépit du temps froid, les 17 écoles participantes ont insufflé un vent chaud d’énergie et de talents aux compétitions académiques, aux compétitions de l’esprit et aux compétitions athlétiques. Les étudiants ont même bravé le froid à -20°C pour participer à une chasse au trésor.
La somme totale de 45 311 $ a été amassée en soutien à la campagne Moose Hide, une campagne communautaire menée par des Autochtones invitant les hommes à prendre position contre la violence envers les femmes et les enfants.
Les cofondateurs de la campagne Moose Hide, Paul et Raven Lacerte, ont mentionnés être fiers et reconnaissants pour tous les efforts menés par la délégation MBA dans la levée de fonds pour l’organisation ainsi que dans la propagation de la cause parmi les différents campus.
- L’École de gestion Schulich (York University) a reçu la coupe Queen’s en tant que grande championne des Jeux MBA.
- L’École de gestion Telfer (Université d’Ottawa) a remporté la coupe Schulich dans la catégorie des compétitions académiques pour son pointage le plus élevé dans les épreuves Finance, Marketing, Stratégie et Diversité et inclusion.
- L’École de gestion Beedie (Simon Fraser University) s’est vue décerner le titre de grande championne de l’esprit communautaire Titi Watul pour sa forte détermination exprimée dans les épreuves de la catégorie des compétitions de l’esprit, qui comprenaient notamment une collecte de fonds, des médias sociaux, un concours vidéo, une chasse au trésor et une étude de cas élaborée en lien avec la campagne Moose Hide.
- L’École de gestion DeGroote (McMaster University) a remporté la toute nouvelle coupe Telfer dans la catégorie des compétitions athlétiques pour son pointage cumulatif lors des tournois de volleyball, de basketball, de ballon chasseur et de curling.
De plus, quatre équipes ont obtenu chacune une subvention de 10 000 $. Cet argent, qui provient de la campagne Moose Hide, servira à financer les initiatives qu’elles ont présentées pour contrer la violence contre les femmes dans leur campus respectif.
Voici le classement académique de l’École Telfer :
- 1re place - étude de cas en stratégie : Shariq Akhlaq, Akil Manasia, Kyle Ferguson et Laurine Avallone.
- 1re place – étude de cas en finance : Rohan Vaidya, Kuntal Shah, Peter Narbaitz et Eric Goneau.
- 2e place – étude de cas diversité et inclusion : Tanya Roy, Jujhar Singh, John Wins-Purdy et Chinmaya Mohapatro.
- De plus, une mention bien spéciale pour les entraîneurs Germain Aoun et Hantz Prosper qui ont su mené nos candidats vers le succès.
L’événement a été organisé en partenariat avec de nombreux commanditaires, notamment Deloitte Canada, Exportation et développement Canada, la Société canadienne des postes et Esprit Whitewater.
Le très honorable David Johnson, ancien gouverneur général du Canada et conseiller de haute direction chez Deloitte Canada, a contribué au lancement des Jeux à titre de conférencier d’honneur lors du gala des cérémonies d’ouverture.
Félicitations à tous les participants! Les Jeux MBA de 2018 ont prouvé une fois de plus que nous sommes #plusensemble!
- Catégorie : Annonces Telfer
Du 5 au 7 janvier 2018, près de 130 étudiants représentaient l'École de gestion Telfer lors de deux des plus importantes compétitions interuniversitaires canadiennes.
Les Jeux du commerce (JDC), une compétition bilingue, a célébré sa 30e année et réunissait plus de 13 universités s’affrontant à l'Université de Concordia à Montréal – John Molson School of Business.
Malheureusement, la deuxième compétition des Jeux du Commerce Central (JDCC) qui devait se dérouler à Halifax en Nouvelle-Écosse, fut annulé pour des raisons de conditions climatiques extrêmes.
Félicitations aux étudiants du B.Com. Telfer pour avoir remporté des prix dans le cadre des compétitions académiques et sportives suivantes :
- 1re place – Étude de cas en finance : Dmitry Shorikov, Katya Berez et Xing Zang.
- Entraîneurs : Michael Reynolds et professeur Allan Riding.
- 1re place – Étude de cas en fiscalité : Dominic Piscopo, Julie-Anne Given et Nikita Gupta
- Entraîneur : Dominic Franchi
- 2e place – Netball : Sean Lumney, Curtis Lu, Santiago Pinzo, Tamara Roy-Stang, Emily Potvin, Jordan Earls, Marisha Sesto, Michael Shaheen et Maxime Frost.
- Entraîneurs : Fadi Azzi et Emily Ryan
- 3e place – Étude de cas en gestion des ressources humaines : Marie-Claude Monette, Isabelle D'Aoust et Deanna Carter.
- Entraîneurs : Maral Elliot et professeur Matt Archibald.
- 3e place – Étude de cas en gestion des opérations et logistique : Austin St. Pierre, Dylan Budimir-Hussey et Cherise Naidu.
- Entraîneurs : Professeur Jasmin Manseau et Aghilas Chebini.
- Catégorie : Engagement communautaire
Polycycle, une initiative du club étudiant de l'École Telfer Enactus uOttawa, a été nommée récipiendaire du prix Community Legacy de 150 000 $ dans le cadre du programme de fonds communautaires d'Aviva Canada. Le Prix de l'héritage communautaire vise les jeunes entrepreneurs sociaux qui ont des idées axées sur le thème de la création d'un héritage communautaire.
Le Fonds d'héritage communautaire d'Aviva cible les personnes âgées de 18 à 25 ans avec une solution unique pour lutter contre le changement climatique ou une idée qui profite à l'héritage environnemental du Canada. Polycycle était l'un des cinq finalistes du prix Community Legacy qui a reçu le plus de votes lors du premier volet de la compétition. Suite à la délibération des juges, c’est Polycycle qui se voit octroyer le premier prix du Community Legacy ainsi que le financement de 150 000 $ pour mettre en œuvre leur idée dans un délai de 2 ans.
Le projet de Polycycle est axé sur la réduction des déchets plastiques grâce à la collecte et au recyclage des articles en plastique post-consommation. Le projet utilise des machines spéciales pour déchiqueter, fondre et transformer les déchets plastiques en une variété de biens de consommation. L’équipe travaille également avec les membres de la communauté pour s'assurer que l'emploi social fait partie intégrante du fonctionnement de chaque système.
- Catégorie : Engagement communautaire
Pour la 18e édition, le Gala annuel CASCO a réuni de merveilleuses performances musicales, des défilés de mode et de la danse, mais surtout une impressionnante somme de 63 506,67 $ au profit du Centre hospitalier pour enfants de l’Est de l’Ontario (CHEO). « Le succès de cet événement provient d’une belle collaboration alors j’aimerais tout particulièrement remercier Fahel & CO, commanditaire principal, Infinity Convention Centre pour avoir accueilli le gala pour la toute première fois, Tuan Nguyen, cofondateur et Amanda Richardson, notre conseillère académique à l’École de gestion Telfer », mentionne Conor O’Doherty, le président de CASCO, l’œuvre charitable des étudiants de l’École Telfer.
« Je suis extrêmement fier de tout le travail que tous les membres de CASCO ont consacré à notre 18e Gala annuel. Notre équipe a réussi à organiser un spectacle incroyablement impressionnant dans un tout nouveau lieu et notre équipe de direction a travaillé pendant plus de 11 mois pour s'assurer que c'était l'un de nos dons les plus importants au CHEO. », ajoute Conor.
Depuis maintenant 17 ans, CASCO est un événement d'envergure pour l'École de gestion Telfer qui a amassé plus de 500 000 $ en fonds à ce jour. Il est entièrement chorégraphié, organisé et présenté par des étudiants de l'École Telfer, qui partagent un même idéal. Au cours des dernières années, des étudiants d’autres facultés se sont joints à CASCO en tant qu’interprètes. Ce magnifique spectacle de talent et de philanthropie rassemble plus de 500 personnes, y compris de grands leaders de la collectivité et des ambassadeurs du CHEO.
En préparation à l'événement, les étudiants ont passé d'innombrables heures à faire passer des auditions, concevoir des chorégraphies et organiser ce gala annuel de collecte de fonds pour CHEO. L'École de gestion Telfer et la communauté universitaire est très fière de ses étudiants membres de CASCO et est reconnaissante du temps et de l'énergie qu'ils accordent chaque année à cet événement, ainsi que la différence qu'ils apportent au sein de notre communauté
Vous pouvez consulter et télécharger les photos de la soirée sur notre page Flickr!
- Catégorie : Innovation et entrepreneuriat
Ce fut un autre grand succès pour notre conférence Ponts de l’entrepreneuriat qui regroupait cette fois-ci, les cofondateurs et co-chefs de Surmesur, François et Vincent Thériault, ainsi que la compétition « Elevator Pitch » présenté par la Banque Nationale.
La compétition « Elevator Pitch » met en valeur plusieurs de nos meilleurs talents de l’Université d’Ottawa. Faisant partie de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat, cette compétition permet aux jeunes entrepreneurs de présenter devant un jury leurs nouvelles idées, toujours à l’étape du développement, et obtenir la reconnaissance pour leur travail. Les gagnants sont récompensés par un généreux prix monétaire avec lequel ils pourront investir dans leurs idées d’entreprise. Comme le mentionne Stephen Daze, « La compétition donne un bel aperçu des initiatives des étudiants et de ce qui est à venir. Les entrepreneurs créent des emplois et contribuent à la croissance économique. Il est donc encourageant de voir nos étudiants travailler à l’établissement de la prochaine génération d’entreprises, qu’il soit question d’entreprises à but lucratif traditionnelles ou d’entreprises sociales. »
La compétition se compose de deux catégories : validation et traction. Chacune de ces catégories pouvant fortement contribuer au développement des entreprises en démarrage et offrant respectivement 5 000 $ et 10 000 $.
Résultats :
Catégorie validation : Swich
Swich est une entreprise spécialisée dans la fabrication de filtres à charbon qui servent à éliminer les odeurs dans diverses industries. Il s’agit du tout premier filtre à charbon réutilisable et biodégradable en forme de cannette au monde, en plus d’être l’option la plus économique, efficace et durable sur le plan de l’environnement qui existe sur le marché. « Nous en sommes aux balbutiements d’une "ruée vers le vert". Si les gens se lancent dans l’exploitation minière de l’or, vous voulez être celui qui leur vend des pelles et des pioches. Dans notre cas, ce sont des filtres à charbon », explique Adam Czach, cofondateur de Swich.
Catégorie traction : Desk Nibbles
Desk Nibbles est une entreprise en démarrage locale mise sur pied par des étudiants de l’Université d’Ottawa qui livre des collations partout au pays. Elle s’efforce d’offrir la meilleure expérience qui soit à ses clients et de leur servir les collations les plus délicieuses au Canada.
« Nous sommes tous d’accord qu’il est agréable de temps à autre de recevoir une gâterie en récompense de notre travail. Desk Nibbles est fière d’offrir un service de livraison de gâteries directement aux employés de n’importe quel bureau. Elle livre les collations les plus délicieuses qui soient à votre bureau afin que ce dernier puisse profiter d’une variété de produits de qualité supérieure éprouvés, bons pour la santé et bons au goût. Ces collations sauront stimuler le corps et l’esprit des employés au travail. Le processus est également simple et sans souci; même pas besoin de lever le petit doigt! Il suffit de s’inscrire en ligne ou de téléphoner à un représentant pour passer une commande. Les clients reçoivent ensuite directement à leur bureau des paquets renfermant les meilleures collations saines qui soient; rien de plus simple! »
Visitez leur site web à https://desknibbles.com/
- Catégorie : Futurs diplômés
Peut-être l’avez-vous aperçue sur le campus, ou peut-être était-ce sa sœur jumelle?
Étudiante en 4e année du B.Com., Holly Todd s’est beaucoup investie dans la communauté de l’École de gestion Telfer. Elle a été présidente d’Enactus et a participé aux compétitions des Jeux du commerce central et aux études de cas Happening Marketing, ainsi qu’à un échange international en Angleterre.
Son engagement auprès d’Enactus a forgé son expérience à Tefler. La mission d’Enactus est d’améliorer les communautés grâce au pouvoir des actions entrepreneuriales. Sprout en est un excellent exemple; c’est une entreprise à vocation sociale d’Enactus uOttawa qui vise à assurer la sécurité alimentaire en milieu urbain en entreposant des produits frais et des trousses de repas chez les dépanneurs. Holly explique : « Enactus me donne l’occasion d’améliorer réellement mes compétences en commerce et d’avoir un impact sur les communautés partout au Canada en dirigeant des entreprises sociales, ce que je trouve très gratifiant. J’aime les défis posés par Enactus, ainsi que la capacité d’expérimenter et de sortir de ma zone de confort. »
En fait, Holly aime tellement Enactus qu’elle s’est inscrite au Programme d’entrepreneuriat COOP RBC, qui lui permet de travailler à temps plein à l’entreprise sociale d’Enactus, Sprout. Le Programme d’entrepreneuriat COOP RBC permet aux étudiants d’apprendre à devenir des entrepreneurs prospères grâce à un stage coopératif, soit dans une entreprise en démarrage, soit dans leur propre entreprise en démarrage pour faciliter le lancement. Avoir été retenue pour ce programme a permis à Holly de travailler à temps plein à Sprout, de consacrer tout son temps et toute son énergie à améliorer son entreprise et d’acquérir de précieuses compétences transférables qu’elle pourra utiliser tout au long de sa carrière.
Holly a été attirée par Enactus en raison de la motivation qu’elle a constatée chez les autres étudiants. Elle déclare : « Les autres étudiants d’Enactus m’inspirent sans arrêt; ils consacrent des milliers d’heures par année à des causes qui les passionnent, tout en jonglant avec leurs cours, leurs obligations sociales, leurs emplois à temps partiel et d’autres engagements. Ça me fascine toujours de voir ce qu’un groupe d’étudiants peut accomplir en collaborant et en travaillant à la réalisation commune. »
Holly affirme avoir d’abord choisi Telfer à cause de sa bonne réputation en tant que l’une des meilleures écoles de gestion, et avoir opté pour le marketing, car elle souhaite travailler dans la publicité. Aujourd’hui, quelques années après avoir choisi Telfer, Holly a voyagé dans onze pays, muri, exploré ses passions et cumulé des expériences professionnelles enrichissantes, tout en rendant service à des communautés dans le besoin.
Ajoutez Holly Todd à votre réseau ici : https://www.linkedin.com/in/holly-todd-520a21b1/.
Vous pouvez aussi suivre les activités de Telfer sur LinkedIn ici!
Vous désirez en savoir plus sur le Programme d’entrepreneuriat COOP RBC? Cliquez ici : https://coop.uottawa.ca/fr/programme-dentrepreneuriat-coop-uottawa-rbc
- Catégorie : Dons et collectes de fonds
Merci aux participants, commanditaires et bénévoles du 23e Tournoi annuel de golf de l'École de gestion Telfer qui a eu lieu le 22 septembre 2017.
Grâce à vous, nous avons amassé plus de 20 000 $ au profit de la bourse d’excellence Bernadette Sarazin et Carl Nappert.
Félicitations à l'équipe gagnante! Thomas Cox, John Wins-Purdy, Caolan Walsh (de gauche à droite), ainsi que Kevin Huynh (non présent).
Pour recevoir davantage d’information concernant les opportunités de commandites pour le tournoi de golf de l’École de gestion Telfer, veuillez communiquer avec Susan Redmond (
Vous pouvez consulter et télécharger les photos de la soirée sur notre page Flickr.
Merci à tous et à l’an prochain!
- Catégorie : Analytique d’affaires et performance
Les investissements dans les analyses de mégadonnées ne donnent pas nécessairement de mégaretombées. Deux chercheurs de l’École de gestion Telfer explorent comment tirer une valeur accrue de ces initiatives.
Dans une nouvelle recherche financée par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH), les professeurs Ajax Persaud et Sandra Schillo de l’École de gestion Telfer chercheront à savoir si les petites et moyennes entreprises (PME) sont prêtes à tirer profit de la manne de données qui sont à leur disposition.
La même rengaine bourdonne aux oreilles des dirigeants de petites entreprises depuis des années. Les PME qui maîtrisent les mégadonnées seront en mesure de jouer dans les ligues majeures. Les PME qui obtiennent les bonnes données pointues et les aptitudes analytiques qu’il faut seront mieux en mesure de prendre les bonnes décisions dans le nouvel univers des médias numériques. Pourtant, la moitié des projets de mégadonnées tombent à l’eau. Que peuvent faire les PME ?
« La plupart des PME abordent les projets d’analyse de mégadonnées avec beaucoup de prudence, et on ne peut pas vraiment les blâmer », confie la professeure Schillo. En effet, on ne sait pas encore bien comment tirer toute la valeur de ces initiatives. « C’est une grande source d’inquiétude actuellement, parce qu’il est essentiel pour le Canada que ces entreprises demeurent à l’affût de l’analyse des mégadonnées pour rester concurrentielles à l’échelle mondiale. »
Le professeur Persaud ajoute que « L’analyse des mégadonnées devient rapidement un axe majeur pour les dirigeants d’entreprises, la principale préoccupation étant d’extraire la valeur maximale des données importantes. Cela transformera la gouvernance d’entreprise et la prise de décision. » Cette transformation est tellement rapide que, selon les prédictions du Big Data Consortium du Canada, nous connaîtrons bientôt une grave pénurie d’employés possédant le bon ensemble de compétences dans ce domaine. « En quelques années à peine, la capacité à stocker, saisir, traiter et analyser cette information a pris une grande importance stratégique pour les entreprises, explique Persaud. Elles se demandent toutes comment utiliser ces aptitudes à leur avantage. »
Il ajoute cependant que l’analyse des mégadonnées pose toujours un bien grand risque pour la plupart des petites entreprises, même pour celles qui souhaitent plus que tout profiter de leurs retombées et qui ont les ressources pour le faire. « La capture et l'extraction des données n’ajoutent pas automatiquement à la valeur ou à de meilleures décisions: les bonnes personnes possédant les bonnes compétences sont nécessaires pour générer des connaissances précieuses et la gestion doit agir de manière stratégique pour exploiter la valeur des connaissances. »
Dans le cadre de leur étude, les chercheurs de Telfer utiliseront des méthodes qualitatives et quantitatives pour évaluer si les PME sont prêtes à tirer parti des mégadonnées. Si la plupart des recherches dans ce domaine s’intéressent surtout aux technologies qui les entourent, les professeurs Persaud et Schillo, eux, souhaitent explorer les processus, les stratégies et les ressources de gestion de l’analyse des mégadonnées. Parallèlement, ils contribueront à la création de cadres de travail, d’échelles et d’indicateurs qui, à leur tour, éclaireront leur côté « gestion ». Ils s’attendent à produire des idées concrètes sur la question, au profit des PME canadiennes, du domaine de la gestion universitaire et du milieu des décideurs publics en matière d’entrepreneuriat.
Selon les chercheurs, comme toutes les initiatives qui visent à préparer les PME à exploiter les mégadonnées pour accroître leur compétitivité, leur étude s’aventure sur un terrain miné. Mais une chose est sûre : en raison de l’importance des PME pour l’économie et compte tenu de la promesse des mégadonnées, il est maintenant temps d’aider les entreprises à ouvrir le coffre-fort qui leur permettra d’accéder à cette richesse. « D’un côté, il y a ceux qui sont très euphoriques à propos des avantages de l’analyse des mégadonnées pour les PME. De l’autre, il y a ceux qui prônent la prudence pour éviter aux entreprises de subir de lourdes pertes », indique la professeure Schillo. « Mais il est probable qu’aucun des deux groupes ne soit très près de la réalité, ajoute le professeur Persaud. Nous espérons que notre recherche permettra de dresser un portrait réaliste de la situation. »
- Catégorie : Actualités
Mon stage au sein du programme de MBA Telfer m’a permis de travailler dans un environnement complètement différent de mon expérience de travail antérieure et m’a aidé à m’épanouir sur le plan professionnel tout en me permettant de mettre directement en application les connaissances acquises dans mes cours de MBA. J’ai travaillé avec une équipe de ventes et de marketing auprès d’une société de technologie qui en était encore à ses premières années d’exploitation, ce qui m’a réellement laissé le terrain libre pour faire une différence. Au départ, les objectifs de mon stage étaient la conception, la mise en œuvre et la gestion d’une campagne par courriel pour attirer davantage de clients potentiels, la création et la révision des documents de marketing, la mise à jour du site Web et l’optimisation du moteur de recherche.
Certes, lorsqu’on tente de revitaliser la stratégie de marketing existante d’une société, le fait de partir de zéro élimine de nombreux obstacles auxquels on peut être confronté, mais cette approche offre son lot de défis, puisqu’il faut parvenir à un consensus sur de nombreuses questions qui semblent futiles à une société qui se préoccupe avant tout d’atteindre ses cibles initiales quant aux revenus mensuels récurrents. Cependant, comme pour toute nouvelle société, il est nécessaire d’établir des conditions préalables essentielles à la stratégie et à l’harmonisation générales qui stimuleront les ventes et le marketing pour de nombreuses années. Pour que tout projet sous mon égide ait un impact durable, j’ai d’abord dû parvenir à un consensus sur la mission, la vision et les valeurs de la société ainsi que sur la proposition de valeur unique de cette dernière. Une fois ces éléments établis, il a été possible d’harmoniser les supports de ventes et de marketing existants, de créer de nouveaux documents et modèles et de revoir le message transmis dans la campagne par courriel.
Comme une grande partie de mon travail était axée sur des initiatives de marketing, les compétences et les connaissances que j’ai acquises dans le cadre de mon cours de Gestion stratégique du marketing m’ont été d’une aide cruciale. Même si j’avais travaillé auparavant dans un environnement de marketing, je suis ingénieur de formation et je m’étais toujours concentré avant tout sur l’aspect technique de la création de produits. Pour assumer un rôle purement lié au marketing, j’ai dû appliquer la théorie de marketing qui m’a été enseignée à Telfer pour pouvoir proposer une stratégie de marketing au président-directeur général de la société. J’ai également pu mettre en application les compétences qui m’ont été enseignées dans mon cours de stratégie, que je suivais pendant mon stage, pour comparer le regroupement stratégique de la société à celui de ses concurrents les plus importants. J’ai été en mesure d’orienter le message de la société pour mettre en évidence le fait qu’il s’agissait d’un marché complètement nouveau comparativement aux produits existants, ce qui a permis d’établir le message et le ton généraux des documents de marketing. Notre produit était une application de l’Internet des objets industriel, mais comme j’avais suivi un cours sur les tendances mondiales, la veille stratégique et les mégadonnées, j’avais été initié à l’analytique et à l’apprentissage machine, ce qui m’a aidé à comprendre les spécialistes des données. J’ai donc pu traduire leur travail en un message marketing compréhensible.
Cette occasion m’a permis de m’épanouir dans plusieurs aspects de ma vie professionnelle. Tout d’abord, j’ai eu la chance de travailler dans le contexte d’une entreprise en démarrage. Comme j’avais travaillé auparavant auprès de grandes sociétés bureaucratiques, c’était une expérience nouvelle de travailler au sein d’une société de moins de 20 employés. Dans ce contexte, j’ai pu assumer une plus grande part de responsabilité et j’ai dû faire preuve de flexibilité pour laisser de côté ce à quoi je travaillais afin de me concentrer sur les priorités plus urgentes de la société. Le fait de travailler avec les personnes qui ont fondé la société, les personnes dont la passion était la force motrice stimulant la croissance de la société m’a inspiré. J’en ai également appris beaucoup sur une industrie complètement nouvelle, une industrie axée sur le développement de logiciels et l’application de l’analytique prescriptive dans un contexte de fabrication. J’ai travaillé auparavant dans divers environnements d’ingénierie; pourtant, cet environnement était de loin le plus novateur et le travail était axé sur l’application d’une technologie toujours en évolution.
- Catégorie : Futurs diplômés
Pour Shokoofeh Manesh, ses études en commerce avec option en comptabilité à l’École de gestion Telfer lui ont donné l’occasion de participer aux activités du campus, ce qui lui a permis d’élargir son réseau et d’acquérir de précieuses compétences. « Les gens disent que votre expérience universitaire sera ce que vous en faites. Ma participation à des clubs à l’École Telfer m’a permis de vivre une expérience exceptionnelle », déclare Shokoofeh. « Ma participation m’a permis de profiter pleinement de mon expérience universitaire : je me suis non seulement faite des amis formidables en devenant active, mais j’ai également mûri en tant que leader au sein de ma communauté. »
C’est grâce à sa participation au Club de comptabilité de l’École Telfer que Shokoofeh a trouvé un endroit pour s’épanouir. Elle fait partie de ce club depuis sa première année d’études et a tranquillement grimpé les échelons de la hiérarchie pour finalement devenir coprésidente pour l’année universitaire 2017-2018. En plus du Club de comptabilité, Shokoofeh a participé à Enactus, à la Compétition de cas interne de Telfer (CCIT), aux Jeux du Commerce et à la Semaine 101. Lauréate de la Bourse d’excellence Peter-et-Ann-Koppel, Shokoofeh a privilégié son engagement communautaire et sa réussite universitaire. La bourse sert à récompenser les étudiants qui ont personnifié l’excellence scolaire, la responsabilité sociale et l’engagement au sein de la communauté Telfer. En effet, Shokoofeh a souligné que c’est grâce aux compétences qu’elle a acquises en étudiant à l’École Telfer et en participant aux clubs susmentionnés qu’elle a pu obtenir ses stages coopératifs et y exceller, principalement son stage à titre d’analyste au sein des services consultatifs sur les risques de Deloitte.
Outre la possibilité de s’impliquer, Shokoofeh mentionne que l’une des principales raisons pour lesquelles elle a choisi de fréquenter l’École Telfer est son régime d’immersion en français qui lui a permis d’étudier les sujets qu’elle aime – le commerce et les mathématiques – tout en continuant d’améliorer son français. Pour les élèves du secondaire qui sont en train de choisir l’université qu’ils veulent fréquenter et qui envisagent de fréquenter l’École Telfer, Shokoofeh déclare que « si vous voulez vous entourer d’étudiants ingénieux, novateurs et passionnés, l’École de gestion Telfer est faite pour vous. ».
Ajoutez Shokoofeh Manesh à votre réseau en suivant ce lien : https://www.linkedin.com/in/shokoofehm/.
Aussi, vous pouvez suivre le fil des activités de l’École de gestion Telfer sur LinkedIn ici!
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La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez