Actualités
- Catégorie : Innovation et entrepreneuriat
Lancer son entreprise tout en poursuivant ses études est un tour de force qui exige beaucoup de temps, mais qui procure en revanche une grande satisfaction. Karim Alibhai, diplômé de l’Université d’Ottawa, et Alina Jahani, diplômée de l’École de gestion Telfer, en savent long à ce sujet.
Les deux acolytes ont lancé leur entreprise en recrutement, HireFast, tout en poursuivant leurs études de premier cycle en sciences et au programme de système d’information de gestion, respectivement. Une grande société américaine a décidé de l’acquérir pour des centaines de milliers de dollars.
Les premiers pas
Karim, ingénieur de logiciels, raconte comment l’idée a germé dans son esprit : « J’étais dans un autobus à Ottawa avec un ami. Il m’expliquait qu’au cours de leurs entrevues, les employeurs demandaient aux personnes postulant aux postes d’ingénieure ou ingénieur en logiciels de résoudre divers problèmes. Ces problèmes portaient sur des algorithmes, ce qui est assez éloigné du travail d’une ingénieure ou d’un ingénieur en logiciels. »
C’est ainsi qu’est né HireFast, un outil d’évaluation qui mesure avec plus d’exactitude les aptitudes des personnes candidates aux postes d’ingénieure ou ingénieur en logiciels. Karim a ensuite rallié Alina pour la gestion du projet et le développement de l’entreprise. Aujourd’hui, HireFast s’appuie sur des connaissances et des données afin d’accélérer le processus d’embauche et de rehausser la qualité des candidatures et des emplois.
Concilier la vie étudiante et l'entrepreneuriat
Après avoir clairement défini leur idée d’entreprise, Karim et Alina ont demandé l’aide de Stephen Daze, professeur d’entrepreneuriat en troisième et quatrième années à Telfer, qui s’est avéré une ressource essentielle.
« Le professeur Daze a joué un rôle crucial pour notre entreprise, reconnaît Karim. Il a été extraordinaire! Il n’a jamais hésité à nous dire, avec une franchise parfois brutale, que [nous faisions fausse route]. »
Lorsque leur entreprise a commencé à prendre de l’expansion, Alina et Karim ont constaté à quel point il est éprouvant de concilier le travail à temps plein et les études. Le duo a dû s’attaquer à deux grands problèmes : la gestion du temps et le financement.
« La gestion du temps a été un véritable casse-tête, poursuit Karim. C’était très difficile de trouver un juste équilibre entre l’entreprise et les études. Nos résultats [scolaires] en ont souffert. De plus, les contraintes financières nous ont obligés à faire des économies de bouts de chandelle sur des choses que d’autres pouvaient aisément se permettre. »
Cela dit, étant à la fois aux études et en création d’entreprise, Karim et Alina ont pu bénéficier de possibilités et de concours offerts par l’Université d’Ottawa, comme le Garage Démarrage.
Les programmes d’entrepreneuriat et accélérateurs d’entreprises de l’Université d’Ottawa
HireFast a participé au programme Garage Démarrage du Carrefour de l’entrepreneuriat de l’Université d’Ottawa avec la cohorte de 2019. Karim et Alina ont choisi de s’inscrire à ce programme, car il leur permettait de mettre leurs études entre parenthèses pendant huit mois pour se consacrer à temps plein à l’entreprise.
« Le programme nous a donné bien plus que ça, affirme Karim. Nous avons travaillé au sein d’une communauté de personnes qui partagent nos points de vue, et ça a été très enrichissant. On peut se sentir dévasté après un échec, et dans ces moments, le soutien de personnes qui ont vécu la même situation est précieux. »
Karim voit un autre avantage au programme : la possibilité de consulter des spécialistes dans son domaine. « Nous avons pris contact avec Nolan Beanlands, un ancien responsable du Garage Démarrage. Il nous a beaucoup aidés. »
Les deux partenaires soulignent que leur entreprise a bénéficié du soutien financier de l’Université par l’intermédiaire de ses programmes et concours, outre le Garage Démarrage.
Quelques conseils sur la création d’entreprise
Karim a quelques conseils à donner à celles et ceux qui souhaitent donner vie à leur projet d’entreprise : « Prenez appui sur des spécialistes du domaine, des diplômées et des diplômés, et quiconque qui peut vous aider, dit-il. L’apport de gens formidables comme Stephen Daze et Nolan Beanlands a été crucial pour notre réussite. Nous entretenons toujours des liens avec eux. J’avais souvent une vision trop étroite des choses, et ils m’ont éclairé de leurs conseils. »
Pour Alina, ce qui compte le plus, c’est de ne jamais renoncer : « Quelle que soit l’ampleur du problème, la dernière chose à faire, c’est de s’enfermer dans une pièce pour trouver soi-même la solution, soutient-elle. Faites appel à vos ressources – utilisatrices et utilisateurs bêta, clientèle, spécialistes – pour vous aider à trouver la solution. Menez des expériences, petites mais efficaces, pour valider vos hypothèses et itérer ensuite. »
L’acquisition
Une société-conseil en recrutement de New York a fait l’acquisition de HireFast récemment.
Karim raconte les circonstances de la transaction : « Nous cherchions l’entreprise qui correspondait parfaitement à la nôtre, explique-t-il. Nous avons trouvé cette société-conseil en recrutement new-yorkaise, qui souhaitait justement étendre ses activités. HireFast est pour elle, en quelque sorte, un tremplin vers les logiciels de recrutement. »
Le nouvel acquéreur prévoit de lancer le logiciel en 2022.
Karim et Alina poursuivent maintenant leurs carrières respectives au sein de deux jeunes entreprises; Karim travaille à New York dans le secteur des services dentaires, tandis qu’Anita occupe le poste d’analyste de produits dans le domaine des régimes de retraite.
L’Université d’Ottawa et l’École de gestion Telfer savent à quel point il est difficile de concilier études et entrepreneuriat, et soutiennent les étudiantes et les étudiants qui se lancent à la poursuite de leur rêve.
Renseignez-vous sur le programme Garage Démarrage et les autres ressources d’aide à l’entrepreneuriat offertes par l’Université.
Crédit photos: Mélanie Provencher, photographer
- Catégorie : ImpactTelfer
L’événement annuel Place à la jeunesse, organisé par l’École de gestion Telfer, offre une occasion extraordinaire d’apprentissage par l’expérience à des élèves de la communauté franco-ontarienne.
Il s'agit d'un programme destiné aux jeunes élèves intéressés par le monde de l'entreprise, comprenant une composante en classe axée sur des sujets commerciaux clés suivi d’un concours de cas. Ce dernier, inspiré par les Jeux du commerce, amène des élèves du secondaire à s’épanouir depuis sa première édition en 2004. La compétition réunie plus de 90 adolescents âgés de 15 à 19 ans provenant d’écoles secondaires de langue française de partout en Ontario.
Le programme est également une excellente occasion de promouvoir la poursuite d'études postsecondaires en français et, en même temps, d'enrichir les connaissances des étudiants dans le domaine des affaires grâce à une expérience pratique immersive et extraordinaire.
Les élèves du secondaire apprennent beaucoup au cours de leur parcours scolaire. Cela dit, la possibilité de mettre la théorie en pratique dans un contexte qui encourage la créativité, l’innovation et la pensée critique est une plus-value importante dans leur perfectionnement scolaire.
Les élèves participants ont également la possibilité de concourir pour des bourses d'études qu'ils peuvent obtenir pour leurs futures études à l’Université d’Ottawa.
La compétition
Le compétition Place à la jeunesse (PALJ) crée un environnement qui encourage les participants à grandir et à partager leurs idées, à contextualiser des problèmes réels et à les résoudre.
Traditionnellement, le concours est divisé en plusieurs sections académiques :
• le marketing;
• la comptabilité;
• l’entrepreneuriat;
• le débat oratoire.
Les élèves ont trois heures pour analyser une étude de cas, cibler des problèmes primaires et secondaires, établir des solutions, puis préparer leurs réponses et en faire la présentation devant des juges.
Leur présentation est évaluée par un jury composé de membres de la communauté, de l’École de gestion Telfer ou d’autres professionnels de la région. Les juges fournissent une rétroaction essentielle à chaque équipe, applicable au perfectionnement de sa compétence au-delà de la compétition.
« Quel bonheur de voir nos élèves participer à une activité aussi stimulante qui leur permet de vivre de telles expériences », explique Shelley Ryan, enseignante à l’école secondaire E.J. La jeunesse, qui a eu la chance de voir ses élèves participer à l’édition 2021.
En lien avec les objectifs d'apprentissage par l'expérience de Telfer
L’École de gestion Telfer prône l’apprentissage par l’expérience pour l’ensemble de ses étudiants. L’apprentissage par l’expérience est intégré au cœur de nos programmes via nos cours d'apprentissage actif, nos laboratoires de recherche et d’apprentissage et notre programme d'enseignement coopératif, entre autres occasions. Les étudiants de Telfer profitent grandement de telles expériences d’apprentissage et ils peuvent aussi mettre à profit l’activité pour s’épanouir et explorer de nouveaux sujets.
Pour des élèves franco-ontariens, Place à la jeunesse est une excellente occasion d’initiation à l'apprentissage par l’expérience à laquelle participer et qui donne un avant-goût de ce qui les attend pendant leurs études universitaires. L’activité pédagogique se déroule dans le cadre idéal de la capitale nationale, cœur du bilinguisme ontarien. Elle figure parmi les rares occasions d’apprentissage expérientiel du genre.
De plus, un document du curriculum du gouvernement de l'Ontario sur l'apprentissage par l'expérience soutien que cette approche permet aux élèves d’acquérir des compétences transversales touchant notamment la présentation orale, la pensée critique et la rédaction synthétisée.
Toute au long de la compétition Place à la jeunesse, les élèves ont l’occasion de faire valoir leurs connaissances théoriques et de les appliquer à des situations réelles pour mériter la reconnaissance de leurs paires et pairs, ainsi que de potentiellement décrocher des bourses d’études.
Comment vous impliquer
Si vous, ou une personne de votre entourage, fréquentez une école secondaire de langue française en Ontario, vous fera vivre une expérience inoubliable et vous préparera à la vie universitaire, en plus de vous faire rencontrer des élèves et membres de toute la communauté franco-ontarienne.
Par ailleurs, les élèves participants courent la chance de décrocher des bourses universitaires. À l’automne 2021, on a remis aux lauréates et lauréats de chaque volet du concours des bourses d’études à l’Université d’Ottawa totalisant 58 500 $.
Si vous souhaitez vous impliquer dans le comité d'organisation, il vous est également possible de participer de cette façon. « Nous sommes toujours à la recherche de personnes passionnées qui ont à cœur l’éducation, l’entrepreneuriat et le français pour nous aider à organiser l’événement », précise Catherine Gingras, présidente du comité organisateur de l’édition 2021 et étudiante au B.Com. à Telfer.
Apprenez-en davantage sur Place à la jeunesse et inscrivez-vous à la prochaine édition.
- Catégorie : La voix des étudiants
Cet été, quatre étudiants de Telfer ont dirigé le Programme de mentorat Telfer de six semaines, en collaboration avec le Conseil scolaire du district d’Ottawa-Carleton (CSDOC). Ce programme vise à donner aux élèves du secondaire qui sont à la recherche d’un stage coop l’occasion d’en apprendre davantage sur le monde des affaires. Des étudiants et des diplômés récents, Wiam Ben Karroum, Jamie Harvie, Laura Oris-Naidenova et Priyesh Sarju, ont agi comme mentors pour l’École de gestion Telfer.
Programme de mentorat et certificat
Il est devenu de plus en plus difficile pour les élèves du secondaire de trouver un stage coopératif en personne cette année. Par conséquent, le CSDOC a lancé plusieurs programmes de mentorat virtuel en partenariat avec l’Université d’Ottawa, dont un avec Telfer. Le but de ce programme est de créer des occasions authentiques et réelles en matière de résolution de problèmes pour les élèves et d’offrir la possibilité de réseauter avec des professionnels des affaires et des étudiants universitaires.
Pendant six semaines, les mentors ont animé des séances thématiques, planifié des activités stimulantes et invité des conférenciers. Chaque semaine, les mentors présentaient un sujet différent, puis attribuaient une activité aux élèves pour qu’ils puissent appliquer ce qu’ils avaient appris. Des concepts comme le réseautage, le leadership, la comptabilité, le marketing numérique et l’entrepreneuriat étaient au cœur du programme. Les élèves du secondaire ont terminé l’été avec des crédits et un certificat présentés par l’École de gestion Telfer.
Voici quelques points saillants du programme :
- Jamie Harvie a fait une présentation sur LinkedIn et une conférencière, Tania D’Iorio de la Financière Banque Nationale, s’est jointe au groupe pour discuter de conseils en marketing.
- Wiam Ben Karroum a fait une présentation sur le leadership en collaboration avec Tina Cantrill, coach professionnelle.
- En compagnie du professeur Marc Tassé de Telfer, Priyesh Sarju a présenté aux élèves la comptabilité et leur a attribué des études de cas.
- Laure Oris-Naidenova a présenté un atelier sur le marketing numérique et a donné aux élèves la chance de créer leur propre logo sur Canva.
- Jamie Harvie a fait une présentation sur l’entrepreneuriat, en compagnie d’une conférencière, Anne Khazzam, une entrepreneure de 19 ans qui a lancé The S’moresBox à Ottawa.
Témoignages d’élèves du secondaire
William Driscoll, un élève du secondaire du CSDOC, a parlé des grandes lignes du programme en ces termes : « Au moment de choisir mon stage coop à l’école secondaire, le programme de mentorat en ligne Telfer a attiré mon attention et j’en suis heureux.
Dirigé par des étudiants de Telfer qualifiés et engagés, j’ai pu rencontrer des conférenciers avertis, participer à des discussions de groupe et travailler à des tâches comme des présentations et des études de cas.
Chaque séance que nous avons eue ensemble était axée sur un certain domaine du monde des affaires, comme le marketing numérique, la comptabilité, le leadership, l’entrepreneuriat et le réseautage, ce qui m’a permis d’acquérir une connaissance précieuse de chacun de ces domaines.
Bien que ce programme ait été limité dans certains domaines par l’exigence actuelle de le tenir en ligne, je crois qu’il sera encore amélioré à mesure qu’il passera à l’apprentissage en personne.
En tant qu’élève qui cherche à exercer une profession liée aux affaires à l’avenir, ce programme m’a certainement aidé à entamer ce processus. »
Roha Abourd, une élève du CSDOC, a aussi vécu une expérience positive en participant au programme. « J’ai vraiment aimé participer au programme de mentorat Telfer. Mes mentors ont été très gentils avec moi et avec les autres. Ce que j’ai vraiment aimé de ce programme, c’est qu’il n’y avait pas de pression concernant nos affectations ou notre participation aux réunions. Nos tâches étaient faciles et simples, et nous n’avions qu’à assister aux réunions du lundi et du vendredi. »
Le point de vue du mentor : Jamie
« En tant qu’ancien élève du CSDOC, j’ai beaucoup aimé le rôle de mentor. C’était formidable de retourner à mon ancien conseil scolaire quelques années après l’obtention de mon diplôme et d’établir des liens avec des élèves qui sont dans la même situation que celle où j’étais il n’y a pas si longtemps », a déclaré Jamie Harvie.
Prochaines étapes
Après le succès obtenu par le programme de mentorat virtuel cet été, Telfer et le CSDOC espèrent poursuivre le programme l’an prochain. Idéalement, le programme serait offert en mode hybride, afin de donner aux élèves la souplesse d’apprendre de la maison, mais aussi de permettre certaines activités en personne. L’une des suggestions était d’inviter les élèves sur le campus une fois par semaine pour explorer différents secteurs, comme l’Atelier Makerspace de l’Université d’Ottawa ou le Laboratoire de recherche et d’apprentissage en finance au Pavillon Desmarais.
L’équipe du CSDOC est optimiste et croit qu’en faisant la promotion du programme plus tôt dans l’année, un plus grand nombre d’élèves seront incités à s’inscrire, ce qui permettra à un plus grand nombre d’entre eux d’explorer leurs intérêts dans le domaine des affaires.
- Catégorie : Innovation et entrepreneuriat
La reconnaissance de la nécessité de la réconciliation dans le cadre de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation est un pas dans la bonne direction, mais il reste encore du chemin à faire, car des centaines de collectivités autochtones sont actuellement visées par des avis concernant la qualité de l’eau.
De tels avis signifient que, pour consommer et utiliser l’eau acheminée par leurs réseaux d’aqueduc existants, les collectivités autochtones doivent d’abord la faire bouillir pour qu’elle soit considérée comme salubre. Dans certaines collectivités, l’eau est totalement inutilisable.
Alexandra Whiteduck, qui étudie à l’Université d’Ottawa et qui est gestionnaire du projet Nibi d’Enactus uOttawa, a grandi à un endroit où l’eau était insalubre, même si cet endroit ne se trouve qu’à une heure et demie de la capitale nationale.
« J’ai grandi dans une collectivité située à une heure et demie au nord d’Ottawa où il n’y avait pas d’eau potable », explique Alexandra.
Du fait qu’elle a elle-même vécu ce problème, Alexandra travaille maintenant à l’initiative Nibi, qui est menée par des étudiants en vue d’offrir des solutions concernant la salubrité de l’eau potable à d’autres collectivités autochtones, grâce à des tests et des mesures d’épuration.
La carte (à gauche) démontre le nombre de collectivités autochtones au Canada qui sont sous le coup d’avis concernant la qualité de l’eau (ce qui ne comprend pas les avis de non-consommation) – selon watertoday.ca
L’importance d'une eau potable salubre
Sans un accès à une eau potable salubre, il est difficile de satisfaire aux besoins fondamentaux de la vie. Alexandra vous encourage à vous poser les questions suivantes :
« Quelles tâches avez-vous au programme aujourd’hui? Allez-vous vous réveiller et prendre un café? Boire un verre d’eau? Prendre une douche? Vous brosser les dents? Laver la vaisselle? Tous ces gestes du quotidien ne sont pas à la portée des collectivités autochtones.
Tout au long de votre journée, réfléchissez à ces questions et demandez-vous si vous pourriez faire ces activités sans accès à de l’eau potable. Dans de nombreux cas, la réponse est non, et pour les collectivités autochtones, c’est une réalité à laquelle elles sont confrontées quotidiennement.
Si nous faisons le nécessaire pour qu’à l’avenir, toutes les collectivités autochtones aient accès à de l’eau potable, leur vie et leur productivité changeront radicalement au quotidien.
La solution Nibi
Quelles sont les mesures prises
Alexandra est devenue membre de l’équipe de Nibi à titre de deuxième gestionnaire de projet. Les deux gestionnaires de projet précédentes, qui ont lancé l’initiative, étaient d’autres étudiantes de l’Université d’Ottawa, Michelle Wronski et Elisabeth Mercier.
« Michelle et Elisabeth ont créé ce projet parce qu’elles ont constaté une importante lacune dans la recherche et le soutien pour la crise de l’eau dans les collectivités autochtones. Elles étaient extrêmement passionnées par la question et voulaient trouver une solution au problème. »
Les deux fondatrices ont entendu Alexandra s’exprimer sur la question et l’ont immédiatement vue comme une bonne candidate pour se joindre à l’équipe. En tant que personne qui a vécu sans accès à l’eau potable, Alexandra est en mesure d’apporter une perspective de première main sur les lacunes dans le soutien et sur les changements à apporter pour améliorer la situation des collectivités autochtones.
L’initiative menée par des étudiants met maintenant l’accent sur trois piliers de soutien : les tests, les mesures d’épuration et les ateliers.
Pour les tests, Nibi met les collectivités en contact avec des partenaires certifiés qui leur enseignent comment assurer une surveillance de l’eau sur place. Cela permet aux populations autochtones de prendre en charge le traitement de l’eau et la surveillance des systèmes.
Nibi aide également les collectivités autochtones à trouver des mesures d’épuration qui correspondent à leur situation socioéconomique. Contrairement à ce qui se passe lorsqu’elles collaborent avec des organismes gouvernementaux, les collectivités ne sont pas forcées d’accepter de l’aide ou de prendre des mesures une fois les résultats obtenus.
« Nous effectuons des évaluations fondées sur les besoins, afin de trouver des mesures d’épuration qui y répondent. Les collectivités ont le choix de travailler avec nous, si elles le souhaitent. Autrement, il n’y a pas de problème. » L’équipe d’Enactus trouve ensuite les contaminants dans l’eau et demande aux collectivités ce qu’elles attendent du processus d’épuration.
Enfin, Nibi organise des ateliers pour permettre aux jeunes de garder le contrôle de la qualité de l’eau qu’ils consomment et de leurs infrastructures. L’équipe de Nibi s’entretient également avec des jeunes Autochtones pour voir ce qu’ils entrevoient pour leurs collectivités à l’avenir.
Comment participer
Pour vous joindre à la cause de Nibi, vous pouvez assister à leurs ateliers et mieux comprendre cet enjeu clé. L’équipe souhaite également embaucher un certain nombre d’étudiants pour doubler sa taille cet automne, y compris dans les domaines suivants :
- Science
- Sensibilisation
- Relations d’affaires
- Relations avec les Autochtones
- Marketing
- Ventes
En cette journée de la vérité et de la réconciliation, il est important de se rappeler qu’il reste encore beaucoup à faire. Nous espérons que tous profiteront de cette journée pour continuer de s’informer sur la vie des Autochtones et sur la façon dont ils sont touchés par les mesures prises par notre gouvernement.
- Catégorie : ImpactTelfer
Déménager dans une grande ville peut souvent sembler logique au moment de choisir de poursuivre des études postsecondaires, mais cela demeure une décision importante, surtout pour les personnes qui ont grandi dans une petite ville. Étudier à Ottawa est souvent assorti de nombreuses possibilités, en raison de la réalité politique et économique de la ville et de sa vie culturelle bouillonnante, alimentée par la diversité de sa population, qui vient de partout dans le monde. Cependant, la vie à Ottawa serait très différente sans sa grande communauté francophone.
Dans le cadre de cette journée de célébration des Franco-Ontariens, nous avons rencontré deux étudiants, Émilie Lebel et Alex Dalcourt, qui sont nés et ont grandi dans des communautés francophones du nord de l’Ontario. Leurs expériences à l’École de gestion Telfer permettent de comprendre pourquoi ils ont choisi Telfer pour leurs études postsecondaires et pourquoi ils ne l’ont jamais regretté par la suite.
Le français au cœur du processus décisionnel
Alex, qui a grandi dans un foyer bilingue de la communauté majoritairement francophone de Hearst, en Ontario, a fréquenté l’école en français toute sa vie et a eu accès à des services et à des activités en français sans même avoir à y penser. « La présence d’une communauté francophone à l’Université d’Ottawa a été déterminante dans ma décision de poursuivre mes études postsecondaires ici, à Ottawa », raconte Alex. Après avoir vécu sur l’île de Vancouver pendant un an, l’étudiant au baccalauréat en sciences commerciales / Juris Doctor, qui en est à la dernière année de son programme, s’est rendu compte à quel point il avait eu de la chance de pouvoir parler et vivre en français.
Émilie a eu un parcours scolaire similaire, au primaire et au secondaire, dans lequel le français prédominait. « Kapuskasing, en Ontario, est une petite ville où la majorité de la population est bilingue, mais dans la communauté, le français a toujours été la principale langue parlée », selon l’étudiante de quatrième année en marketing, qui est également inscrite au programme coopératif en français.
C’était donc une décision facile à prendre pour elle de poursuivre ses études postsecondaires en français, mais elle voulait aussi rester en Ontario pour être le plus près possible de sa famille. « La possibilité de terminer mon programme en français et de participer à des activités dans ma langue maternelle à l’école Telfer a facilité mon choix d’université. Telfer est non seulement une excellente école qui m’offre des possibilités professionnelles au-delà de la salle de classe, mais c’est aussi un endroit où je peux m’exprimer librement dans la langue dans laquelle je me sens le plus à l’aise. »
Vivre dans un environnement francophone
En plus de permettre d’étudier, les universités sont un lieu d’épanouissement, tant sur le plan personnel qu’interpersonnel.
Par conséquent, il était important pour Émilie de pouvoir s’exprimer en français, tant en classe qu’en participant à des activités parascolaires. La communauté Telfer lui a toujours offert cette chance. « Je n’ai pratiquement jamais participé à une activité où il n’y avait pas d’autres étudiants francophones, explique-t-elle. Tout au long de mes études, je n’ai jamais été dans une situation où je ne pouvais pas m’exprimer dans ma langue. J’ai participé à de nombreuses compétitions de cas d’affaires, y compris les Compétitions de cas internes de Telfer, Pitch Your Brand avec l’Association marketing de Telfer, le Happening Marketing et les Jeux du Commerce, et j’ai toujours été en mesure de présenter mes exposés oraux et mes arguments de vente en français. » Émilie a également eu la chance d’accroître la présence française au sein de l’équipe de CASCO avec d’autres étudiants francophones, ce qui a amélioré la communication avec la communauté.
Alex apprécie également la possibilité qu’il a eue de tirer parti de son patrimoine et de sa culture francophones tout au long de son expérience étudiante à Telfer. Il a rencontré des pairs aux vues similaires dans le processus. « J’ai trouvé une communauté avec laquelle je peux communiquer librement en français », explique-t-il. Par exemple, Alex a été bénévole, membre, puis coprésident, du comité exécutif de Place à la jeunesse pendant trois ans. « Cette compétition de cas en français est un exemple parfait de la façon dont je peux travailler avec des collègues, le corps professoral, des personnes et des organismes à l’extérieur de l’Université, toujours en français, vers un objectif commun », ajoute-t-il.
S’épanouir en français
Quitter sa ville natale pour la grande ville est toujours le fruit d’une réflexion difficile et suscite des défis, mais Émilie et Alex s’entendent sur un point : on n’est jamais seul dans cette aventure.
« N’ayez pas peur de parler votre langue! ajoute Émilie. Vous serez surpris de l’ampleur de la communauté francophone et de l’ouverture et du soutien des élèves non francophones. Vous ne serez jamais empêché de vous exprimer en français, dans les clubs et les activités de Telfer », a‑t‑elle conclu.
Alex voulait donner un conseil aux élèves des communautés francophones éloignées, « Chérissez votre langue pour l’utiliser à votre avantage, que ce soit pour profiter de différentes occasions ou pour rencontrer de nouvelles personnes. Vous savez déjà à quel point votre langue et votre culture sont précieuses. Vous pouvez maintenant vous épanouir dans votre vie personnelle et professionnelle à Ottawa et partout dans le monde. »
- Catégorie : Diplômés aux commandes
Wiam Ben Karroum a obtenu un double diplôme en finance et systèmes d’information de gestion et analytique d’affaires (SIGA) de l'École de gestion Telfer en avril 2021. Elle a déjà obtenu un poste à temps plein chez Deloitte au sein de l'équipe Technologie, stratégie et transformation, après y avoir effectué un stage coop pendant ses études.
Wiam est également impliquée activement avec la Fondation Oublie Pour Un Instant, qui se concentre sur la sensibilisation des établissements de santé en incorporant la nature à l’intérieur. Organisme de bienfaisance enregistré depuis 2012, la fondation a été lancée par une diplômée de l'Université d'Ottawa, Jeannine Lafrenière, qui a elle-même été atteinte du cancer et souhaitait voir autre chose que des magazines dans les salles d'attente des hôpitaux pour les patients, les familles et le personnel.
Nous avons rencontré Wiam virtuellement pour mieux comprendre comment son implication parascolaire dans des clubs comme le Women in Management Network (WMN) l'a aidée à s'impliquer dans la Fondation Oublie Pour Un Instant. Comme beaucoup d'autres diplômés de Telfer, Wiam aide maintenant à bâtir un meilleur Canada.
Pourquoi était-il important de vous impliquer dans des activités parascolaires lorsque vous étiez étudiante? Qu'avez-vous appris en faisant du bénévolat dans des clubs?
« S'impliquer dans plusieurs clubs dirigés par des étudiants à Telfer m'a aidé à me développer personnellement et professionnellement. J'ai eu la chance d'acquérir plus de compétences en leadership et en communication et cela m'a permis de découvrir mes intérêts et mes passions en dehors des cours ! J'ai tissé des amitiés significatives avec des étudiants partageant les mêmes valeurs qui ont aidé et soutenu ma croissance tout au long de l'expérience universitaire et encore à ce jour.
J'ai également lancé le podcast « Words with WMN » pendant la pandémie ! Faire partie du Women in Management Network (WMN) m'a permis de rencontrer des femmes leaders incroyables et m'a fait comprendre où nous en sommes aujourd'hui sur le sujet de la diversité et de l'égalité et qu’il reste encore énormément à accomplir dans ce domaine. J'ai pu redonner à ma communauté et faire partie de causes qui me tiennent à cœur, ce qui m'a finalement amené à la Fondation Oublie Pour Un Instant. »
En tant que récente diplômée, qu’avez-vous tiré de votre expérience à Telfer?
« La meilleure chose que j'ai tirée de mon expérience à Telfer est ma capacité maintenant raffinée de réseauter et de maintenir des liens véritables. Dans l'ensemble, j'ai vécu une expérience merveilleuse, en essayant des nouvelles choses et en explorant la communauté, en passant par mon implication dans des clubs et le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP). J'ai compris le pouvoir de dire « oui » et de continuer à m'impliquer après l'obtention de mon diplôme. Telfer m'a fait réaliser que je m'intéresse à des choses que je ne connaissais même pas, dont la curiosité et les opportunités que j'ai saisies sont si importantes. »
Wiam s’est jointe à la Fondation Oublie Pour Un Instant en tant que coordinatrice de campagne au cours de sa dernière année d'université, grâce à la suggestion d'Omer Livvarcin, son professeur d'entreprise numérique. La fondation œuvre pour financer la construction de structures naturelles à l'intérieur des établissements de santé ainsi qu’appuyer leur première année d'entretien. Présentement, elle amasse des fonds pour le mur végétal du Carrefour santé d'Orléans, et ils ne le font pas simplement parce que les plantes sont jolies. De nombreuses études ont prouvé que le simple fait de regarder des plantes dans un environnement de soins aide les patients, les familles et le personnel à réduire leur stress.
La Fondation cherche à offrir aux malades, à leurs proches, à leurs soignants et au personnel un jardin naturel, sain et agréable pour leur permettre de faire une pause momentanée de leur peur, de leur douleur et de leur stress.
Wiam travaille avec des gens et des entreprises intéressées à joindre le programme de partenariat ou faire un don directement via leur site Web. La Fondation a pour objectif d'inclure systématiquement la nature dans la conception de dix hôpitaux, établissements de soins de longue durée ou foyers pour personnes âgées au cours de la prochaine décennie.
La passion de Wiam pour cette cause brille de mille feux et c'est un parfait exemple de la mission de Telfer de créer un changement social profond grâce à l'initiative d’un meilleur Canada. En plus de ce beau projet, nous avons également interrogé Wiam sur son avenir :
Quels sont vos plans pour l'avenir? Qu'attendez-vous avec le plus d'impatience?
« Mes plans sont de continuer à travailler avec les fondatrices du WMN pour étendre le réseau et de m'impliquer avec la Fondation Oublie Pour Un Instant pour le développer au niveau national. Je suis également ravie de commencer ma carrière à temps plein en tant que consultante technologique ! »
Nous sommes si fiers de toutes les réalisations de Wiam et que son implication dans la Telfer Nation ait pu lui donner la confiance et les compétences en leadership pour poursuivre un travail à but non-lucratif parallèlement à un emploi à temps plein. Nous sommes également ravis de voir une jeune diplômée s’unir à notre vision de bâtir un meilleur Canada. Nous souhaitons à Wiam du succès dans ses projets futurs.
- Catégorie : Futurs diplômés
Les étudiants au B.Com. à Telfer savent qu'un grand projet les attend lorsqu'ils s'inscrivent à leur cours de synthèse de quatrième année, le cours Management stratégique - ADM 4711. Ce dernier comprend une simulation de stratégie en ligne qui compte pour une grande partie de la note globale du cours.
Du 10 au 11 juillet, les étudiants de 4e année au B.Com. ont participé à la simulation Intopia, où ils ont appliqué les concepts de management stratégique appris en classe dans un monde d'affaires virtuel simulé. Ils devaient prendre des décisions rapides et négocier avec leurs pairs pour développer leur entreprise simulée au cours du week-end, en jouant les rôles de producteurs, de grossistes ou de distributeurs au sein d'une même industrie.
Le meilleur du travail d'équipe
Bien que la simulation Intopia comprend son lot de défis, l'aspect le plus positif et le plus mémorable est souvent la collaboration entre les joueurs : « Le fait de passer le week-end à travailler avec ses amis et collègues a été l’élément le plus agréable de la compétition. Collaborer avec d’autres équipes et avec nos pairs que nous avons appris à connaître au fil des derniers quatre ans était un point culminant des plus gratifiants de nos années à Telfer », a partagé Aarun Senathirajah, étudiant en comptabilité et membre de l’équipe gagnante.
Lorsque questionné sur les plus grands défis à relever à Intopia ce trimestre, Aarun a répondu : « S’adapter à un marché en constante évolution et aux dynamiques de pouvoir changeantes entre les producteurs et les grossistes représentait un défi d’envergure tout au long du jeu. En nous assurant que notre stratégie était flexible et dynamique, nous étions en mesure de prédire les changements du marché afin de s’adapter en conséquence. Une communication claire entre les membres de notre équipe était indispensable afin de s’adapter rapidement. »
Félicitations à l’équipe gagnante et à la meilleure entreprise intégrée : Équipe 18
- MacKenzie Erbach
- Philip Kaczmarczyk
- Julia Magahey
- Aarun Senathirajah
- Liam Woodside
Félicitations aux équipes suivantes, qui se sont distinguées dans d’autres catégories prisées.
Meilleur producteur de produits finaux : Équipe 33
- Livia Banu
- El adla Dounia
- Karly Labbe
- Mengjiao Liu
- Shelby O’Breza
- Alsu Zubairova
Meilleurs producteurs de composants : Équipe 6
- Francine Bellama
- Marissa Bourdeau
- Elie Eid
- Ana Maria Lleras
- Kaleigh Shantz
Meilleur fournisseur de services : Équipe 34
- Linh Cao
- Dimitri Guerin
- Claudia Dushime
- Quyen Pham
- Chantal Shirokova
- Catégorie : La voix des étudiants
Pour bon nombre d’étudiants universitaires canadiens, les derniers trimestres ont été présentés complètement en ligne, ce qui veut dire que c’est le temps de faire les examens virtuels. Étant donné que ceux-ci arrivent à grands pas, je voulais vous présenter un guide qui regroupe mes 5 meilleurs conseils qui ont joué un rôle important lors de mes examens à l’université, et qui pourraient vous être utiles pour préparer vos examens virtuels.
1. Avoir une saine alimentation
Mon premier conseil est de s’alimenter sainement parce qu’il est important de bien se nourrir au moment de faire un examen. Personnellement, j’aime commencer ma journée en mangeant un petit-déjeuner santé qui comprend du gruau et des toasts. Manger de l’avoine vous donne beaucoup d’énergie parce qu’il s’agit d’un aliment à digestion lente. Au courant de la journée, je mange des fruits séchés ou des légumes pour maintenir mon énergie jusqu’au souper. Arrive le temps du souper, il est important d’avoir un repas complet accompagné d’une source de protéine afin de pouvoir bien étudier en soirée.
J’ai découvert beaucoup de délicieuses recettes ce trimestre grâce au livre de recettes The College Vegetarian Cookbook. Pour plus de recettes, allez faire un tour sur le blogue Grateful Grazer!
2. Maintenir une bonne hygiène de sommeil
Les étudiants à l’université sont reconnus pour manquer de sommeil. De plus en plus d’étudiants souffrent d’un sommeil de mauvaise qualité et cela affecte souvent leur succès à l’école. À mon avis, les étudiants devraient dormir huit heures par nuit les trois jours avant un examen final; j’appelle ça « rentrer dans la routine ». J’ai réussi plusieurs cours en choisissant de dormir au lieu d’étudier plus longtemps. Cela m’a permis de me sentir mieux, d’être plus concentré et d’être plus productif chaque jour jusqu’à mes examens finaux.
3. Prendre des pauses
C’est très important de faire une pause de temps en temps parce que nous passons tous beaucoup trop de temps assis et les yeux virés sur un écran - surtout en ce moment, pendant la pandémie. Mes pauses consistent souvent à faire une marche, à jouer à des jeux vidéos ou à écouter des balados. Les promenades et les balados me permettent de m’éloigner des écrans où je passe beaucoup de temps; je peux laisser reposer mes yeux et sortir de mon bureau. J’aime aussi les jeux vidéos parce qu’il n’y a pas de règles et une expérience en ligne est une excellente activité pour se détendre. Planifiez la durée de vos pauses avant d’en faire afin de vous assurer d’avoir terminé d’étudier. Le plus souvent, je vais marcher quand c’est une journée ensoleillée et je prends beaucoup de photos.
4. Avoir un espace de travail propre
Pour moi, un espace de travail organisé veut dire ne pas avoir de vaisselle et de verres qui traînent à la fin de la journée. Ce genre d’objets prennent de la place dans ce que j’aime appeler « l’espace de bureau primordial » et personne ne veut ça, surtout quand il y a beaucoup de tâches à accomplir. D’ailleurs, il n’y a rien de mieux que de commencer sa journée dans un espace de travail propre. Pour d’autres personnes, cela pourrait vouloir dire s’assurer que tous ses outils et documents sont organisés. Ne pas trouver un outil ou un document peut vous empêcher de tirer le maximum de toutes les heures d’études précieuses menant à votre examen.
5. Optimiser son bureau ou sa salle d’étude
Ce trimestre, certaines mises à niveau de mon bureau m’ont aidé dans l’avancement de mes études. Ma première mise à niveau a été l’installation d’un deuxième moniteur afin d’être mieux organisé. J’adore avoir un écran supplémentaire parce que ça me permet de vraiment augmenter mon efficacité lorsque j’étudie. Je peux afficher plusieurs documents et présentations de cours simultanément en toute clarté. Une autre optimisation qui m’a aidé physiquement fut de changer ma chaise de bureau. Étant donné que je passe énormément de temps assis devant mon ordinateur, j’ai pensé que je devrais songer à ma posture davantage et m’acheter une chaise de bureau confortable pour passer de longues heures à étudier.
En somme, ce sont mes 5 conseils et j’espère qu’ils vous apporteront le plus grand succès pour vos examens, ce trimestre. Bonne chance à tous!
- Catégorie : La voix des étudiants
En tant qu’étudiante internationale, j’ai dû relever de nombreux défis à l’Université d’Ottawa au cours de ma première année. Lorsque je suis arrivée au Canada, j’étais aux anges et mon rêve s’était finalement réalisé. Cependant, la vie au Canada est tout à fait différente de ce que j’imaginais. Il faisait beaucoup plus froid et c’était beaucoup plus difficile que je ne le pensais. Je vivais dans un nouveau pays, je rencontrais de nouvelles personnes de plusieurs origines et j’avais une charge de travail scolaire élevée. Toutefois, être ouverte d’esprit, développer des habitudes d’apprentissage stratégiques et chercher des conseils de façon proactive vous aideront à surmonter ces défis au cours de votre première année.
Défi no 1 : Faire face au choc culturel
Le choc culturel est une émotion que la plupart des gens ressentent au cours de leur première année dans un nouveau pays. Il s’agit d’une expérience commune qui change la façon dont vous vous comportez dans un nouvel environnement. Voici quelques trucs pour surmonter le choc culturel :
- Faites des recherches sur la culture canadienne avant d’arriver au Canada : J’ai fait des recherches sur la culture populaire et j’ai appris à m’adapter à la culture canadienne. Les Canadiens sont très polis, et il est important de ne pas oublier vos manières si vous voulez faire bonne impression. Assurez-vous de dire « merci » et « s’il vous plaît » de façon appropriée et significative, mais ne l’utilisez pas à outrance.
- Fixez des attentes réalistes : Accepter le choc culturel fait partie de l’adaptation à un nouveau pays. Donnez-vous le temps nécessaire pour découvrir et vous adapter à votre nouvel environnement. Ne vous poussez pas trop fort. Laissez le temps faire son œuvre, surtout pour une nouvelle transition comme celle-ci. Le fait de puiser de l'énergie positive dans les loisirs vous aide également à surmonter vos difficultés au lieu de vous concentrer principalement sur elles.
- Participez à des activités de groupe, à des événements universitaires et à des festivals sociaux : Les festivals communautaires prennent de l’ampleur au fil du temps pour refléter les valeurs, les intérêts et les aspirations des résidents. Ces activités vous aideront à développer votre capacité à apprendre les langues, à vous familiariser avec les cultures et à faire de nouvelles connexions. Vous trouverez les festivals à venir sur le site web de Festivals d’Ottawa.
- Rencontrez votre mentor international : Telfer nous aide aussi à nous adapter à un nouvel environnement. Les étudiants internationaux se voient attribuer un mentor international lors de leur première année. Avoir une conversation avec eux et leur poser des questions vous aidera à améliorer votre expérience. Ils sont également des étudiants internationaux et comprennent donc vos problèmes et ont des conseils utiles pour les régler. De plus, ils sont très sympathiques et prêts à aider, alors ne soyez pas timides.
Défi no 2 : Faire de nouvelles rencontres
J’ai beaucoup d’amis du secondaire et de l’université dans mon pays d’origine, mais j’en avais moins lorsque j’étudiais au Canada. Le français et l’anglais sont les langues officielles au Canada, donc si la langue est un obstacle au moment de vous faire des amis, acceptez-le et soyez fiers de votre accent propre à votre langue maternelle. L’Université d’Ottawa offre de nombreux programmes linguistiques qui peuvent vous aider à améliorer vos compétences en communication. Le Programme intensif d’anglais est offert pour vous aider à développer votre confiance et à acquérir de nouvelles compétences linguistiques.
De plus, des ateliers de conversations sont également offerts pour vous aider à vous faire de nouveaux amis qui ont des niveaux linguistiques semblables et qui vous permettent d’être plus à l’aise à parler anglais. J’ai rencontré tellement d’amis dans le cadre de cet atelier et j’ai finalement amélioré mes compétences en expression orale. En plus, le fait de vous faire des amis et de tisser des liens avec vos collègues de classe vous aidera à surmonter votre peur de parler l’anglais. Votre première année est le meilleur moment pour vous faire des amis, alors que la plupart des gens ne se connaissent pas encore. Ne soyez pas timide au début! Si vous ne tentez pas votre chance, il vous sera plus difficile de trouver de nouveaux amis lors de votre deuxième ou troisième année d’études.
Défi no 3 : Gérer une charge de travail élevée
Le troisième défi est la charge de travail scolaire élevée que vous devez assumer lorsque vous êtes à l’université. Je crois que bon nombre d’entre vous ont eu beaucoup de devoirs et de remises à respecter lorsque vous étiez à l’école secondaire. Cependant, c’est tout à fait différent à l’université. La vie universitaire est beaucoup plus stressante que l’école secondaire. Parfois, vous pouvez être fatigué et vouloir abandonner. Voici quelques raisons pour lesquelles vous êtes si anxieux et comment les surmonter :
-
Ne pas bien connaître votre horaire : La plupart des étudiants sont plus stressés lorsqu’ils ont énormément de devoirs et un horaire chargé. Vous créer un plan détaillé est la meilleure façon de gérer votre temps et de prioriser les choses les plus importantes. Vous ne pouvez pas modifier vos heures de cours ou votre horaire de travail, mais vous pouvez essayer de tirer le meilleur parti de votre temps. Accorder un certain temps pour les devoirs et la relaxation vous aidera à créer une routine qui vous rendra moins stressé.
-
Avoir peur de poser des questions : C’est probablement la situation la plus courante à laquelle les étudiants internationaux sont confrontés à l’uOttawa. Ils ont peur de communiquer leurs problèmes et de dire leurs opinions. Selon moi, la langue est un obstacle pour de nombreuses personnes ne parlant pas l’anglais, et elle les empêche de dire ce qu’ils pensent. Les personnes qui maîtrisent moins bien l’anglais peuvent éprouver des difficultés en classe, ce qui les conduit naturellement à rester silencieux. Il existe de nombreuses façons de poser des questions : rencontrer votre professeur après le cours, leur envoyer un courriel ou même poser des questions à vos collègues de classe. Vous ne maîtrisez peut-être pas encore la langue, mais c’est en forgeant qu’on devient forgeron.
-
Avoir un mode de vie malsain : souvent les étudiants ne boivent pas assez d’eau, ne font pas assez d’exercice, ne dorment pas selon un bon horaire et mangent de la malbouffe. C’est plus difficile pour les étudiants internationaux de prendre soin d’eux-mêmes pendant leur première année parce qu’ils étaient habitués de compter sur leurs parents à la maison, ce qui peut mener à de mauvaises habitudes. Par conséquent, il est essentiel et utile d’établir une routine saine, de prendre des pauses, d’instaurer des habitudes et de travailler avec des amis pour surmonter le stress et obtenir suffisamment d’énergie positive pour mieux affronter les obstacles. L’Université d’Ottawa offre également des services en santé mentale et mieux-être qui vous aideront à vous sentir mieux dans votre peau.
J’espère que vous trouverez ces conseils utiles et qu’ils vous aideront à gérer les défis que vous aurez à relever lors de votre première année à l’uOttawa. Une fois que vous aurez surmonté ces défis, vous serez plus à l’aise lors de votre prochain trimestre. Si vous avez des questions ou des problèmes, n’hésitez pas à communiquer avec moi. Je serai ravie de vous aider pour tout ce qui a trait à votre première année!
- Catégorie : La voix des étudiants
Si j’avais une machine à remonter le temps, voici tout ce que je ferais différemment et tout ce que je ferais de la même façon pour réussir mes études sans regret. Si vous lisez cet article avant de commencer votre première année, c’est le moment parfait pour vous faire un plan. Si vous êtes à la moitié de votre baccalauréat et que vous ne vous sentez pas entièrement comblé, je vous encourage à lire et à explorer certaines des opportunités mentionnées; il n’est jamais trop tard!
Quel que soit votre programme d’études, tirer le meilleur parti de votre éducation va au-delà de la salle de classe. Il s’agit des rencontres que vous faites, des amitiés que vous créez et des défis que vous vous lancez. Il n’est pas nécessaire de se mettre trop de pression, d’ailleurs j’ai quelques stratégies pour vous aider à garder le juste milieu tout en vous amusant pendant vos études en gestion.
Mes bons coups :
Il n’y a pas de formule magique, mais c’est en suivant de bons conseils et en créant mes propres occasions que les choses se sont bien déroulées pour moi.
1. Utiliser un agenda ou un planificateur
C’est simple et essentiel! Si vous le faites déjà, continuez comme ça.
J’ai eu la chance d’en recevoir un dans ma trousse de semaine 101 Telfer, mais si vous n’en avez pas reçu, la SÉUO en donne parfois au début du trimestre.
La gestion du temps est la clé de la réussite. Notez toutes vos dates limites et planifiez votre journée en conséquence afin d’avoir du temps pour étudier et du temps pour relaxer.
Les téléphones intelligents et les calendriers en ligne fonctionnent très bien pour beaucoup de gens, mais si vous avez tendance à vous sentir étouffé par les notifications, il est préférable d’envisager une autre option pour minimiser les distractions et aider à la visualisation.
Je vous recommande fortement ce Textagenda QUO VADIS (voir la photo ci-jointe). Il a des caractéristiques géniales et il est à un prix raisonnable, soit moins de 20 $, dans un format parfait. Le papier est recyclable et la couverture peut être réutilisée. J’ai acheté le mien à la Boutique Campus.
2. S’inscrire à des clubs
On vous le suggérera au moins 416 fois au cours de votre baccalauréat, alors autant l’accepter : rejoindre des clubs étudiants est une expérience très enrichissante. En vous joignant à l’équipe de direction, vous organiserez des événements pour vos membres, ce qui paraît bien sur votre CV, mais qui est également beaucoup de plaisir!
Si vous n'avez pas le temps de vous engager, joignez-vous aux clubs en tant que membre pour avoir accès à des événements gratuits ou à un tarif réduit pour les événements payants.
J’ai fait partie du Club des entrepreneurs (TECDE) avant de rejoindre l’équipe des ambassadeurs du Centre des carrières de l’École de gestion Telfer.
Jetez un coup d’œil à la liste complète des clubs et associations de Telfer et découvrez ce qui vous intéresse!
3. Parler aux professeurs en dehors de la classe
Les heures de bureau sont idéales pour poser des questions précises à vos professeurs et obtenir des renseignements de façon individuelle, mais au-delà de ça, apprenez à les connaître!
Apprenez-en davantage sur leurs passions et leurs expériences. Certaines des conversations les plus percutantes et significatives que j’ai eu ont eu lieu ainsi. Le fait d’être à distance et de façon virtuelle ne devrait pas vous en empêcher. Je peux dire avec certitude que j’ai établi d’excellentes relations sur Zoom au cours de la dernière année. Les professeurs peuvent vous offrir d’excellents conseils professionnels et vous mettre en contact avec des personnes de leur réseau qui peuvent vous guider si ils ne le peuvent pas.
4. Participer à des compétitions de cas
Prendre part à des activités parascolaires comme des compétitions de cas qui sont offertes à l’interne par Telfer et à l’externe par l’entremise de CABS est l’une des meilleures choses que vous pouvez faire en tant qu’étudiant en gestion.
J’ai participé aux Jeux du Commerce Central (JDCC) lors de ma troisième année et je peux dire qu’avec le bon encadrement, votre capacité de travailler sous pression et de présenter des exposés efficaces s’améliorera de façon exponentielle.
Mis à part le fait que vous pouvez vous épanouir, vous avez souvent la possibilité de gagner des prix en argent ou autre, et si vous n’êtes toujours pas convaincu (vous devriez l’être), les employeurs adorent voir ce genre d’accomplissement sur un CV. Cela témoigne de votre capacité à gérer votre temps, à collaborer et à surmonter des défis. Pour en savoir plus, consultez l’article « Trois raisons pour lesquelles tu devrais participer à une compétition de cas à Telfer ».
Employeur : « Parlez-moi d’une fois où vous avez dû gérer un conflit. »
Vous : Aux JDCC!
Employeur : « Parlez-moi d’une fois où vous avez dû faire preuve de leadership. »
Vous : Aux JDCC!
Employeur : « Wow! D’accord, mais à part les JDCC, parlez-moi de… »
Vous : (Parlez de la façon dont vous avez saisi toutes les opportunités que j’ai décrites ici et comment elles vous ont aidé à développer des compétences et à grandir.)
5. Participer à des événements de réseautage
Le Centre des carrières de Telfer offre d’excellentes occasions de parler à des recruteurs provenant d’une multitude d’entreprises.
- Connectez-vous à Destination Carrière pour jeter un coup d’œil au calendrier des événements, puis prenez le temps d’y assister. Faites des recherches sur les entreprises qui vous intéressent à l’avance.
- Programme de mentorat par les cadres de Telfer
Recevez de l’encadrement par un professionnel de l’industrie, profitez de conseils professionnels, posez des questions, révisez votre curriculum vitæ, visitez son bureau, et essayez de participer à certaines réunions. - Séminaires innovants
Surveillez ces sections spéciales : ADM4797 - séminaires innovants, ADM3396 - fusion entrepreneuriale, ou ADM3713 - Esprit entrepreneurial : création d’une nouvelle entreprise! Ce sont des occasions uniques qui vous aident à tirer le meilleur parti des cours complémentaires que vous devez suivre en administration. Je recommande fortement les cours Préparation et participation à la compétition de cas d’affaires I (ADM3994) et II (ADM4994).
6. Postuler comme assistant à l’enseignement
Postulez, postulez, postulez! L’université vous enverra un courriel avant la période de soumission. Notez-la dans votre agenda! Si vous avez étudié fort et obtenu des notes exceptionnelles, postulez à tous les postes qui vous intéressent. Si vous aimez travailler directement avec les étudiants, envisagez de postuler pour ADM1700 - Introduction à la gestion des affaires, ou ADM2781 - Habiletés de communication d'affaires.
7. Étudier à l’extérieur de votre chambre
La bibliothèque a des étages désignées au silence. Mettez votre téléphone sur silencieux et hors de vue pour vraiment vous y mettre et être productif. Il y a plein d’endroits propices où étudier sur le campus; prenez le temps de les découvrir!.
8. Découvrir les sports intra-muros
L’activité physique est tellement bénéfique. C’est une excellente occasion de socialiser, de se faire des amis et de s’amuser. Structurez votre semaine et assurez-vous de prendre du temps pour vous-même. Découvrez les options de ligues intra-muros de l’uOttawa.
9. Naviguer le travail et les études
Si vous êtes admissible à un soutien financier et souhaitez travailler à temps partiel pendant le trimestre, explorez le Régime travail-études pour les emplois sur le campus. Les heures sont habituellement très raisonnables, ce qui vous permet de gagner de l’argent tout en gérant votre charge de travail.
Ce que je referais différemment :
1. M’inscrire à des programmes pratiques spécialisés de Telfer
Si vous aimez le défi de résoudre des problèmes et de présenter des solutions dans le cadre de compétition de cas, une carrière en consultation pourrait être pour vous. Si je pouvais revenir en arrière, je ne passerais pas à côté de ce programme. Le Programme de la profession de consultant en gestion (PMCP) est un programme de développement de deux ans destiné aux étudiants de l’École de gestion Telfer qui s’intéressent à la consultation. Ceux-ci participent à des ateliers et à des simulations animés par des professionnels de l’industrie.
Si les finances vous intéressent, le Programme sur les marchés financiers (CMP) est pour vous. Consultez les autres programmes offerts ici.
2. Rester dans le programme coop
J’ai quitté le programme coop en deuxième année pour des raisons personnelles, avec l’intention de trouver un stage par moi-même. On m’en a offert un, mais les choses n’ont pas marché. Ça arrive!
Les stages coop sont plus sûrs (les employeurs reçoivent des incitatifs concurrentiels au moyen de crédits d’impôt pour études, de sorte qu’ils profitent grandement de l’embauche d’étudiants), et vous aurez la garantie d’obtenir votre diplôme avec une certaine expérience de travail officielle liée à votre domaine. Ne vous méfiez pas des frais ou de la charge de travail : ça en vaut la peine.
Quelques conseils importants :
- Réseautez avec des personnes travaillant dans ces entreprises dès le début; souvent, les candidats sont pris en considération avant même de faire une entrevue, alors passez du temps avec les recruteurs. Démontrez de l’intérêt, posez des questions et trouvez à qui vous devriez parler.
- Si vous le pouvez, envisagez d'expérimenter à la fois le secteur public et le secteur privé pour déterminer le rythme et l'environnement qui vous conviennent.
3. Rencontrer des gens de différentes facultés et de différents programmes
Si les compétitions de cas vous intéressent, surveillez les facultés d’ingénierie et de sciences. Explorez la possibilité de joindre leurs clubs, d’assister à des activités sociales, même si ce sont des soirées de jeux en ligne, des tournois et plus encore. Vous pouvez collaborer avec d’autres étudiants de ces facultés et offrir vos connaissances entrepreneuriales pour créer une équipe hautement fonctionnelle.
Vous aimiez les arts au secondaire? Il y a un certain nombre de clubs de danse à l’UCU en tout temps. Joignez-vous à un club d’improvisation ou de théâtre! Créez votre propre club, ici!
4. Explorer Ottawa
Trouvez un ami et allez vous promener; prenez du temps pour vous aventurer et découvrir. Si vous n’avez pas choisi le forfait alimentaire, songez à soutenir certains restaurants ou cafés locaux.
Profitez de l’expérience complète. Les études sont importantes, mais je vous encourage à prioriser votre temps de façon à pouvoir faire des excursions personnelles périodiquement. Profitez de l’automne et du printemps, car les randonnées d’hiver peuvent être difficiles. Ne manquez pas de patiner sur le canal, c’est un rite de passage.
Je n’ai jamais vécu tout un été à Ottawa et je le regrette énormément. J’avais prévu de passer l’été 2020 à explorer, mais ça ne s’est pas tout à fait déroulé comme prévu! Apprenez de mes erreurs!
5. Faire des demandes de bourses d’études
La grande majorité des bourses d’études offertes par l’entremise du portail des bourses en ligne de l’Université d’Ottawa ont des dates limites au début et au milieu de l’automne. Faites autant de demandes que possible, et gardez un bon dossier sur les exigences de chacune. Conservez des copies des demandes que vous soumettez, et améliorez-les.
De nombreuses bourses d’études exigent que vous rédigiez une dissertation, mais elles portent souvent sur un sujet qui vous intéresse! Écrivez sur quelque chose de spécial qui vous tient à cœur. Vous pouvez réutiliser la même dissertation pour de multiples occasions différentes, alors soumettez-les continuellement! Si vous vous y consacrez dès le début et faites preuve de diligence, ce sera bénéfique pour vous.
Si vous êtes prêts à faire du bénévolat, je vous le recommande fortement. Non, en fait, je vous SUPPLIE d’en faire. Utilisez le navigateur de l’engagement communautaire pour trouver les meilleures occasions afin de vous impliquer et d’obtenir votre attestation de bénévolat. Cela fera de vous un candidat extraordinairement intéressant pour les bourses, en plus des nombreux avantages permanents qui y sont associés.
6. Devenir un conseiller communautaire ou un mentor
Si vous êtes un bon candidat bilingue et qui a aimé la commodité et l’ambiance de la vie en résidence, envisagez de devenir conseiller communautaire ou mentor. Un avantage de l’emploi est de vivre en résidence gratuitement!
Résumé des principaux points à retenir :
Si vous vous êtes rendu aussi loin dans l’article, vous avez ce qu’il faut pour réaliser de grandes choses.
N’oubliez pas :
- Les relations sont importantes! La situation mondiale actuelle rend le réseautage difficile, mais vos efforts en valent la peine;
- Mettez-vous au défi! Le stress peut être nuisible, mais c’est la source du progrès;
- Trouver un équilibre entre vos cours et vos passions personnelles. Respectez vos engagements et les obligations de votre groupe, mais prenez du temps pour vous;
- Soyez ouvert d’esprit! N’ayez pas peur de nouvelles idées et activités. Vous apprendrez tellement de choses et vous vous ferez de nouveaux amis.
Sous-catégories
La voix des étudiants
L'article suivant a été écrit par un membre de notre communauté étudiante. Les points de vue et opinions exprimés dans ce blog sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de l'École de gestion Telfer. Pour plus d'informations ou pour signaler un contenu inapproprié, veuillez