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- Catégorie : Innovation et entrepreneuriat
Le Centre de leadership de l’École de gestion Telfer de l’Université d’Ottawa, en collaboration avec le Diversity Institute de la Ryerson University, a lancé la Ontario Inclusive Innovation (I2) Action Strategy (stratégie d’action d’innovation inclusive (I2) de l’Ontario).
Le Brookfield Institute of Entrepreneurship + Innovation a accordé un contrat de 225 000 $ au Centre de leadership de l’École de gestion Telfer, en collaboration avec le Diversity Institute de l’Université Ryerson, afin de préparer un rapport sur l’état du soutien offert aux entreprises fondées par des femmes en Ontario, offrir des ateliers sur l’entrepreneuriat tenant compte des disparités entre les sexes, mettre sur pied un programme de certification et tenir une conférence pour présenter des pratiques factuelles visant à habiliter les entrepreneures. Parmi les partenaires de l’industrie : Les femmes en communications et technologie, WEConnect International – Canada, Canadian Aboriginal and Minority Supplier Council, WBE Canada, YWCA et les Services d’emploi des jeunes.
Des études menées par l’École Telfer et le Diversity Institute font état de la nécessité d’une culture favorable aux femmes et de services d’entrepreneuriat tenant compte de la spécificité des sexes. Le soutien offert aux entreprises communautaires met l’accent principalement sur la technologie, malgré l’importance d’autres secteurs dans lesquels œuvrent un très grand nombre d’entrepreneures. Les entrepreneures sont moins susceptibles d’obtenir des contrats d’investissements et gouvernementaux, et perdent ainsi des occasions d’affaires.
« Il s’agit d’un impératif économique de traduire des perspectives factuelles en programmes et en outils pour habiliter les entrepreneures. Le fait de ne pas soutenir les entreprises à fort potentiel de croissance et divers types d’entreprises dirigées par des femmes est un gaspillage de ressources intellectuelles et renforce les inégalités économiques et sociales », explique Barbara Orser, PhD, membre du corps professoral de l’École de gestion Telfer et chef de projet. « Cette stratégie d’action d’une durée de 12 mois devrait transformer l’Ontario en l’un des écosystèmes entrepreneuriaux les plus inclusifs au monde. »
Selon Wendy Cukier, directrice du Diversity Institute et coauteure d’Innovation Nation, « Les femmes jouent un rôle essentiel pour ce qui est de stimuler la croissance économique. Nous devons éliminer les obstacles imposés à diverses femmes et veiller à ce que les processus et les soutiens ne reflètent pas de préjugés conscients ou inconscients. Nos dernières études ont démontré que les entrepreneures immigrantes, appartenant à des groupes racialisés et autochtones se heurtent à des difficultés supplémentaires. La diversité favorise l’innovation et nous pouvons tirer profit de ce que nous savons sur l’innovation pour éliminer les disparités. »
- Catégorie : Distinctions
Le 19 avril, douze femmes de la région d’Ottawa ont été récompensées pour leurs réalisations professionnelles et entrepreneuriales par les Businesswoman of the Year Awards (BYAs) à Ottawa. Les BYAs sont une excellente occasion de mettre à l’honneur les réalisations professionnelles des femmes d’affaires travaillant pour des organisations de la région de la capitale nationale et de saluer le travail de lauréates reconnues dans notre milieu des affaires.
Parmi ces lauréates, Linda Eagen (MBA pour cadres 2002), présidente et chef de la direction de la Fondation du cancer de la région d’Ottawa et diplômée de l’École Telfer, a remporté le prix de la catégorie « organisation ». Ces 13 dernières années, Linda Eagan et son équipe ont recueilli 60 millions de dollars pour financer la recherche sur le cancer et les soins contre le cancer dans l’est de l’Ontario. Linda est la fondatrice de Cancer Coaching, un service d’aide sociale et de soins médicaux novateur s’appuyant sur la communauté et destiné aux personnes atteintes d’un cancer. Mère de deux enfants, Linda Eagen agit activement à titre de bénévole auprès de Life Saving Therapies Network, BioCanRx et Arvizio Health Technologies.
Nous tenons à féliciter toutes les finalistes et lauréates pour leurs réalisations, sources d’inspiration.
Pour en savoir plus sur les BYAs et les finalistes et lauréates précédentes, cliquez ici »
- Catégorie : Distinctions
Depuis quatre ans maintenant la Fondation franco-Ontarienne (FFO) souligne l’engagement des femmes dans la communauté ontarienne et leurs accomplissements par le biais de la Soirée Saphir. Cette année, la soirée se déroulait sous la thématique de la diversité et a reconnu un total de sept femmes sous quatre grandes catégories, soit deux pour le volet « Engagement communautaire », deux pour le volet « Jeunesse », deux pour le volet « Professionnelle » et une lauréate de la « Personnalité féminine de l’année ».
Nous tenons donc à féliciter Bernadette Sarazin pour sa nomination à titre de « Personnalité féminine de l’année » ainsi que toutes les autres lauréates qui ont été soulignés lors de cette soirée.
Pour en savoir plus sur Bernadette Sarazin, visitez le lien suivant »
- Catégorie : Annonces Telfer
La majorité d’entre nous connaissent quelqu’un qui a déjà fait l’objet de harcèlement sexuel au travail. Il n’est pas rare que ces victimes ressentent de la honte et qu’elles hésitent à dénoncer les actes par crainte de représailles. Ainsi, beaucoup de victimes préfèrent garder le secret.
Mais la situation change lentement. À la suite de récentes allégations de harcèlement sexuel au travail, un nombre croissant de femmes de tous les horizons trouvent le courage de briser ce trop lourd silence.
Nous commençons enfin à percevoir l’ampleur du problème, notamment à la suite des sorties publiques de grandes stars hollywoodiennes, d’athlètes médaillées d’or et de membres féminines de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) qui ont osé raconter leur histoire.
Ce qui a changé, c’est que les femmes ont trouvé un lieu sûr pour être entendues.
« Je crois que le mouvement #moiaussi et le fait que de plus en plus de gens soutiennent et écoutent les victimes ont encouragé beaucoup de femmes à parler du harcèlement sexuel qu’elles ont vécu dans leur vie de tous les jours, y compris au travail », explique la professeure de l’École de gestion Telfer Jane O’Reilly. La professeure étudie actuellement les relations interpersonnelles nocives, y compris le harcèlement sexuel, au sein des organisations.
Si vous désirez en savoir plus sur les raisons pour lesquelles les organisations devraient prendre au sérieux même les formes les plus subtiles de harcèlement sexuel pour créer un milieu de travail respectueux, cliquez ici.
- Catégorie : Futurs diplômés
Le Réseau de femmes en gestion est une initiative qui a récemment été fondée à l’École de gestion Telfer et qui a pour objectif de fournir aux femmes les outils dont elles ont besoin pour réussir leurs projets personnels et professionnels. L’objectif de l’initiative consiste à aider les femmes sous trois différents volets : à exceller dans leur carrière en mettant à leur disposition du mentorat et en augmentant leur participation dans le secteur de la gestion; à bâtir une communauté positive, solidaire et inclusive; et à perfectionner leurs compétences pour favoriser la créativité et l’innovation.
La femme derrière le Réseau de femmes en gestion n’est nulle autre que Polly Leung. Polly, originaire de Markham, en Ontario, est une étudiante de quatrième année du B.Com. avec option en gestion internationale. Elle travaille avec grand intérêt afin d’ouvrir la voie pour les autres femmes et elle-même au sein des industries professionnelles. Polly affirme qu’elle a eu de nombreuses idées au cours des années, mais que celles-ci ne se sont pas concrétisées en raison d’un manque d’engagement. Elle explique que le réseau reprend un concept qu’elle a imaginé plusieurs fois : un regroupement où les femmes s’entraident afin de se développer dans une atmosphère de communauté qui leur permet de célébrer leur réussite, ainsi que de reconnaître les épreuves et d’apprendre de celles‑ci. « J’ai eu plusieurs bonnes idées au fil des ans, mais celle du Réseau de femmes en gestion est simplement restée ancrée pour finir par se concrétiser », dit-elle. Polly reconnaît que sans le soutien et les encouragements de l’École Telfer, particulièrement du Centre des carrières, le Réseau de femmes en gestion n’aurait pas été possible. Elle note également qu’elle a eu plusieurs professeurs qui lui ont appris à aller au fond des choses, à poser les questions difficiles en classe et ailleurs, et à toujours travailler fort pour aller plus loin.
« Transformation avant information » est la mentalité de Polly pour le regroupement. Elle a pour ambition d’organiser des événements qui rassemblent les gens et leur permettent de communiquer et d’apprendre les uns des autres, en plus de créer des relations de transformation, plutôt que d’organiser uniquement des séances d’information. Elle affirme qu’elle s’efforce d’imiter la capacité d’Oprah à établir des liens avec les gens, à inspirer des objectifs et à orienter les personnes autour d’elle.
Polly est destinée à un brillant avenir. Elle vise une carrière à un poste de direction en marketing où elle pourra établir un équilibre sain entre ses engagements, sa créativité et ses passions, et ce, elle l’espère, dans une grande ville. Pour l’instant, elle continue de travailler avec une incroyable équipe de personnes qui contribuent au Réseau de femmes en gestion et de suivre des cours inspirants et pertinents; et pour couronner le tout, elle vient de présenter une demande pour participer à un échange international.
Au cours des prochains mois, le regroupement prévoit plusieurs événements, dont une série d’ateliers sur le thème de la finance ainsi qu’un programme sur l’entrepreneuriat. Apprenez-en plus sur le Réseau de femmes en gestion et son calendrier des événements ici.
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