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Le 13 mars, le professeur Greg Richards a pris la parole lors de la conférence « Villes intelligentes : Imaginer la région de la capitale nationale », tenue à Bibliothèque et Archives Canada (BAC). Des personnalités importantes du milieu universitaire et des secteurs public et privé ont partagé leurs points de vue sur l’avenir de la région de la capitale nationale lors de cet événement organisé par BAC en collaboration avec l’Université d’Ottawa et Ottawa 2017, en partenariat avec Investir Ottawa et la Ville de Gatineau.
Le professeur Richards a participé à la table ronde d'ouverture sur l'économie intelligente (« innovation, entrepreneuriat social et participation des citoyens »). M. Richards a fait remarquer que le secteur de haute technologie est fort, les travailleurs du savoir sont nombreux et le taux d’urbanisation est élevé. Tout cela, soulignait-il, fait en sorte que la région est très bien positionnée pour se développer en tant que ville intelligente et pour saisir de nouvelles possibilités d’améliorer la vie des citoyens.
M. Richards était accompagné de : John Smit, gestionnaire, Élaboration politiques et design urbain, Ville d’Ottawa; Martin Lajeunesse, conseiller municipal, Ville de Gatineau; et Eme Onohua, vice-président des Affaires gouvernementales mondiales, Xerox Canada.
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Les 3 et 4 mars 2017, l'École de gestion Telfer, en partenariat avec Exportation et développement Canada (EDC) et Deloitte, organisait la deuxième édition de la Compétition d'étude de cas MBA sur la diversité et l'inclusion.
Lors de cette compétition, les équipes ont examiné les nouveaux défis et proposé des solutions quant aux problèmes de diversité et d'inclusion qui sont souvent négligés dans les organisations. Cette compétition innovatrice permet aux futurs dirigeants de mieux comprendre la diversité de la main-d'œuvre canadienne, qui donne aux entreprises une occasion de changer et de croître.
« La diversité et l'inclusion sont des questions de survie pour les organisations, et elles doivent être reconnues par les présidents-directeurs généraux au lieu de seulement représenter une case à cocher par les ressources humaines », explique Kate Morican, associée, capital humain, Deloitte Canada. « Chez Deloitte, nous mettons l'accent sur la formation des dirigeants qui pratiquent un comportement inclusif tous les jours afin d'aider nos clients et nos employés à exceller. Nous sommes ravis de soutenir cette initiative importante en partenariat avec EDC et l'Université d'Ottawa. »
La délégation de l'École de gestion Telfer a démontré ses compétences en leadership en gagnant la Compétition d'étude de cas. L'équipe gagnante était composée de quatres étudiants; Matt Chesser, Vikas Kumar, Abhijit Doiphode, et Taro Abarbanel-Ueu.
Voici les résultats :
- 1re place – École de gestion Telfer, Université d'Ottawa
- 2e place – Schulich School of Business, Université York
- 3e place – École de gestion John-Molson, Université Concordia
- Mention honorable 1 – HEC Montréal, Université de Montréal
- Mention honorable 2 – Alberta School of Business, Université de l'Alberta
« Afin de tirer avantage d'une main-d'œuvre diversifiée, nous travaillons pour créer une culture inclusive et accueillante pour tous les employés », affirme Robert Fosco, vice-président, talent, apprentissage et culture, EDC. « Le fait de commanditer cette compétition pour la deuxième fois nous donne l'occasion de démontrer aux futurs chefs d'entreprises que la diversité et l'inclusion sont essentielles pour la compétitivité des entreprises canadiennes. »
« La main-d'œuvre diversifiée et inclusive, sujet de l'étude de cas, n'est pas seulement la bonne chose à faire. Cette question est très convaincante et est appuyée par un corpus de recherches croissant, affirme Matt Chesser, membre de la délégation gagnante à la compétition. Il était fascinant de lire les travaux de recherche récents sur l'inclusion et de participer à des ateliers d'Exportation et développement Canada et de Deloitte, deux chefs de file dans la diversité et l'inclusion. Notre victoire a été une agréable surprise pour mettre fin à deux jours formidables. Nous avions eu la chance d'avoir une équipe possédant des expériences variées sur lesquelles nous avons pu tirer profit dans l'étude de cas. »
Nous remercions toutes les écoles d'avoir envoyé d'excellents représentants pour participer à cette compétition.
Écrit par Alexis Cawadias-McGeadie, adjointe, Expérience étudiante et événements
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L'initiative des cinq meilleures entreprises en démarrage à l'Université d'Ottawa (uOttawa) reconnaît et célèbre l'aboutissement de chaque cycle annuel d'enseignement, de compétitions, d'ateliers et de travail acharné qui donne lieu à de formidables entreprises en démarrage.
Déjà à sa troisième année, cette recherche annuelle des cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus est le résultat d'un effort de collaboration entre l'École de gestion Telfer, la Faculté de génie, Garage Démarrage et le Carrefour de l'entrepreneuriat de l'Université d'Ottawa.
« Chaque année, la qualité des entreprises en démarrage sur le campus s'améliore », a déclaré Stephen Daze, entrepreneur en résidence Dom Herrick à l'École de gestion Telfer. « L'intérêt des étudiants, le programme des facultés et la croissance de la culture d'entrepreneuriat contribuent à une meilleure qualité, et je suis heureux de constater que notre nouvelle génération de dirigeants crée ses propres occasions. »
Voici les cinq meilleures entreprises en démarrage à l'Université d'Ottawa, en ordre alphabétique :
Kegshoe
- Cofondateurs : Torin Regier, directeur financier (B.Com. Telfer 2017), Mike Eagar, directeur marketing (ancien étudiant, uOttawa) et Adrian Pawliszko, dirigeant principal de la technologie (étudiant en génie civil, uOttawa).
- Kegshoe Inc. est une entreprise de logiciels pour l'industrie de la bière qui fournit des solutions infonuagiques conviviales pour gérer les activités complexes de l'exploitation d'une brasserie. Avec des fonctionnalités comme le suivi des barils à bière et une gestion de la clientèle propre à la brasserie, Kegshoe Inc. aide à résoudre les problèmes les plus importants et les plus coûteux des brasseries.
Spiderwort
- Cofondateurs : Charles M. Cuerrier, chef de la direction (boursier postdoctoral, uOttawa), Andrew E. Pelling, dirigeant principal de la technologie (professeur agrégé, département de physique, uOttawa) et Daniel J. Modulevsky, agent principal des biomatériaux (candidat au doctorat, biologie, uOttawa).
- Spiderwort a développé des biomatériaux innovants pour la recherche médicale, la chirurgie reconstructive et la médecine régénérative. La stratégie de Spiderwort repose sur l'utilisation d'échafaudage de cellulose pour la régénération et la réparation de tissus endommagés ou malades.
Spivo Inc.
- Cofondateurs : Andre Bellerive, chef de la direction (B.Sc.A. 2014 et étudiant à la maîtrise en ingénierie, uOttawa) et Marc Bjerring, directeur de l'exploitation (B.Sc.A. en génie mécanique, 2014, uOttawa).
- Spivo Inc. conçoit, fabrique et vend des accessoires d'appareils photo créatifs qui captent les souvenirs de la vie comme jamais auparavant. Leur produit phare, le Spivo Stick, est un support de caméra rotatif (brevet en instance) qui permet aux aventuriers et aux voyageurs de changer instantanément le point de vue de leurs appareils photo. Les vidéos créées avec le Spivo Stick sont amusantes et créatives, en plus d'inclure des transitions entre les plans qui créent des images incroyables et attrayantes.
Welbi
- Cofondateurs : Elizabeth Audette-Bourdeau, chef de la direction (B.Com. Telfer 2016), Felipe Izquierdo, directeur de l'exploitation (B.Com. Telfer 2016) et Nicholas Petryna, dirigeant principal de la technologie (ancien étudiant en génie logiciel, uOttawa).
- Welbi est une application qui aide les familles à prendre soin d'un être cher plus âgé. Elle utilise une montre intelligente Fitbit pour analyser le sommeil, l'activité physique et la fréquence cardiaque, et vous avise ensuite des changements dans les habitudes de l'être cher. Son objectif principal est de fournir aux familles la visibilité et l'information dont elles ont besoin pour prendre soin de la santé et du bonheur de leur proche à la maison.
YouCollab
- Fondateur : Shaun Maclellan, chef de la direction (ancien étudiant, uOttawa).
- YouCollab est une plateforme unique qui permet une communication et une collaboration harmonieuses entre les créateurs de contenu YouTube. YouCollab relie les utilisateurs en fonction de l'emplacement, de la taille du public et de mots clés.
Comment les cinq meilleures entreprises en démarrage sur le campus ont-elles été sélectionnées?
Un appel de mises en candidature public sur le Web a permis aux entreprises en démarrage de manifester leur intérêt. Un comité d'entrepreneuriat du campus a ensuite évalué les candidats, et une première longue liste des meilleures entreprises en démarrage a été établie.
Une rétroaction de divers diplômés et entrepreneurs de la Silicon Valley a été obtenue avant la sélection de la liste définitive des cinq meilleures entreprises en démarrage. Ces cinq meilleures entreprises en démarrage seront invitées à visiter la Silicon Valley pour une expérience d'apprentissage et de développement des affaires en mai 2017. Ce voyage coïncide avec le voyage annuel à la Silicon Valley du programme de MBA pour cadres de l'École de gestion Telfer.
« Les voyages dans la Silicon Valley ouvrent la voie à un monde de liens et de possibilités que l'on ne trouve nulle part ailleurs », a soutenu Lee Silverstone, cofondateur de GymTrack et récipiendaire de l'initiative des cinq meilleures entreprises en 2016. « L'occasion de s'y rendre avec l'Université d'Ottawa et son réseau était une expérience incroyable, et je recommande fortement aux fondateurs d'entreprises en démarrage d'en profiter. »
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Ottawa est en passe de devenir un joueur important dans le secteur de l’innovation en soins de santé. L’une des approches pour atteindre cet objectif consiste à connecter les innovateurs cliniques de la région avec des gens qui ont le sens des affaires et veulent améliorer les soins aux patients.
Ce message s’est imposé comme l’un des grands thèmes de la présentation de Wojtek Michalowski, vice-doyen (recherche) de l’École Telfer et professeur d’informatique de la santé, lors de la conférence midi « I3 » – Industry, Issues and Insights – tenue au Château Laurier le 7 février.
La rencontre « I3 » qui a été organise par la Chambre de commerce d'Ottawa et l’Ottawa Business Journal, avec le soutien de l’École Telfer avait comme conférencier principal le stratège en chef de l’innovation en santé de l’Ontario William Charnetski. M. Charnetski a parlé des efforts déployés pour faire de l'Ontario un chef de file mondial non seulement pour les technologies de la santé nouvelles et innovatrices.
Le premier conférencier, M. Michalowski, a fait remarquer qu’Ottawa possède un vibrant secteur de la haute technologie et offre également un vaste bassin de talent et des ressources abondantes en soins de santé. La ville capitale a donc tout ce qu’il faut pour devenir un leader national en innovation en soins de santé à condition que d’autres éléments soient en place, a-t-il affirmé.
L’un de ces éléments nécessaires : un esprit intrapreneurial. « L’innovation en soins de santé est comparable à une start-up que l’on développe à l’intérieur de l’organisation ou du système. Les personnes qui la dirigent doivent donc connaître l’intrapreneuriat, autrement dit savoir être des entrepreneurs à l’interne. Cela signifie savoir quelles sont les forces qui favoriseront l’innovation, celles qui la tueront, les compétences nécessaires et les meilleures pratiques et les façons de procéder à adopter ».
Un autre élément important, dit M. Michalowski, est une coordination accrue entre les praticiens des soins de santé et les chercheurs qui étudient les systèmes de santé. Il en a donné pour exemple le Telfer Health Transformation Exchange (THTEX), des rencontres où peuvent discuter et apprendre les innovateurs en soins de santé et les professeurs de gestion et de génie.
« Ottawa est particulièrement bien placée, avec la bonne taille de capital humain et de champ d’action et des gens vraiment novateurs et talentueux. L’innovation enthousiasme énormément les différents acteurs mais la coordination est parfois absente. Grâce au programme THTEX, nous espérons contribuer à une meilleure coordination ».
Une interview avec M. Michalowski après la rencontre a été diffusée en direct sur la page Facebook de la chambre de commerce. Vous pouvez regarder l’entrevue ici : https://www.facebook.com/ottawachamberofcommerce/
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La professeure Ivy Lynn Bourgeault de l’École de gestion Telfer, titulaire de la chaire de recherche des IRSC sur le genre, le travail et les ressources humaines en santé, vient de recevoir le Prix d’Excellence en recherche 2016-2017 de l’APUO.
Des résultats pertinents pour les politiques
Les travaux de recherche de Mme Bourgeault permettent de mieux comprendre la sociologie des professions de la santé. Ses études examinent notamment l'impact du genre sur la qualité du travail et sur les sortes de tâches assignées aux différents professionnels de la santé. Elle explore également la nécessité de moderniser les champs d’exercice des professionnels de la santé pour favoriser de nouveaux modèles de soins.
Elle étudie la mobilité du personnel de soins de santé et la question connexe de la planification régionale en matière de personnel de santé. Ses travaux fournissent des renseignements précieux sur la migration des différentes professions de la santé à destination/en provenance de divers pays, y compris le Canada.
Mme Bourgeault est également reconnue pour ses recherches sur les services de santé pour les femmes. Elle a mené des recherches sur la santé des femmes dans les régions éloignées, les différences régionales entre les systèmes de soins de maternité, et le rôle important des sages-femmes dans la prestation des soins de maternité primaires.
La professeure Bourgeault est une sommité internationale dans ces domaines – en particulier les ressources humaines en santé – dont elle est se fait aussi la championne. Ses études novatrices ont placé le Canada à l'avant-garde de ce domaine relativement nouveau qui s'est rapidement développé du fait des défis majeurs en matière de personnel de santé.
À la tête de réseaux de recherche nationaux
Mme Bourgeault s’est distinguée au niveau de l’interface recherche-politique-pratique. Elle a été consultante auprès de divers ministères provinciaux de la santé, Santé Canada, l'Organisation panaméricaine de la santé et l'Organisation mondiale de la santé. Elle a fait preuve d'un leadership remarquable dans des communautés de pratique influentes telles que le Réseau ontarien de recherche sur les ressources humaines en santé et le Réseau canadien sur les ressources humaines en santé.
Par ailleurs, Mme Bourgeault est très appréciée à titre de mentor et de professeur. Elle a supervisé plusieurs étudiants diplômés et postdoctoraux et encadré des collègues chercheurs en début de carrière. Elle a ainsi démontré son engagement envers la création d’une nouvelle génération de chefs de file dans la recherche sur les politiques et les systèmes de santé.
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Samia Chreim a été nommé Professeure Ian Telfer en Études des organisations de soins de santé. Ses recherches aident à mieux comprendre la dynamique du changement organisationnel, de l’intégration des organisations et de la collaboration entre professionnels. Elle a dit récemment que l’évolution future des organismes de santé demandera notamment des coalitions gagnantes de professionnels ayant des compétences et des ressources complémentaires.
En quoi les organisations de soins de santé sont-elles différentes des autres types d’organisation?
SC : Les pressions sont grandes, actuellement, pour que le système de soins de santé devienne plus performant. On demande fréquemment aux professionnels de ce secteur de s’adapter ou de modifier leur façon de travailler pour prodiguer de meilleurs soins aux patients. Mais les professionnels de la santé doivent atteindre différents objectifs professionnels; ils ont des rôles, des cultures et des intérêts différents. Les conflits sont inévitables.
Imaginez qu’une autorité sanitaire confie une procédure particulière à un groupe. Un autre groupe en était exclusivement responsable jusqu’à là. Quiconque perçoit une perte d’autonomie ou de pouvoir risque de résister énergiquement au changement.
D’autres changements deviennent problématiques simplement parce qu’ils dérangent les pratiques habituelles. Prenons l’exemple de la déclaration des incidents concernant la sécurité des patients. Un hôpital dont l’unité de soins primaires a mis en place un système efficace pour ce faire pourrait souhaiter que ce système soit adopté par une autre unité, l’équipe de santé mentale par exemple. Cela s’avérera parfois impossible du fait des différences de cultures et de pratiques professionnelles.
Que peuvent faire les gestionnaires pour faire en sorte que les changements nécessaires soient mis en œuvre?
SC : L’une de mes études portait sur la collaboration entre organisations de soins de santé dans un contexte de soins primaires. Ces recherches ont montré que, pour réussir à apporter des changements, les gestionnaires doivent créer une coalition gagnante de professionnels et d’employés ayant des compétences et des ressources complémentaires. Mais pour ce faire, il est nécessaire d’établir des « terrains d’entente », de créer un climat de confiance et de renforcer la crédibilité du processus de changement.
Il faut par conséquent une personne dont le travail est de gérer le processus de changement. Cette approche sera en bout de ligne plus efficace que si l’on demande à des praticiens des soins de santé déjà très occupés de se charger de la gestion du changement en plus de leurs tâches. S’il n’y a pas personne réellement responsable du processus, il y a de fortes chances que le changement perde de son importance dans l’esprit des gens et que l’enthousiasme tombe.
Quel style de gestion, quelle approche, faudrait-il encourager, compte tenu de la nécessité de rassembler les professionnels et le personnel autour d’un changement important?
SC : Les recherches montrent qu’il est bon d’avoir un petit nombre de personnes (des gestionnaires et des professionnels) ayant des compétences et des ressources complémentaires pour ce qui est de mener à bien des changements organisationnels majeurs . Mais cette approche est parfois source de confusion. Il peut y avoir des ambiguïtés sur les responsabilités des uns et des autres, d’où la duplication des efforts ou l’oubli de certaines tâches qui passent entre les mailles du filet. J’ai aussi étudié des organisations où des conflits insolubles ont surgi entre les membres d’un groupe de gestion et par conséquent leurs équipes ont beaucoup été affectées.
Les risques associés à ces scénarios font l’objet d’un vif débat sur la manière dont le leadership devrait être organisé, en particulier sur la nécessité ou non de partager ou distribuer le leadership, et sur la façon de le faire. Le leadership partagé s’applique à différents niveaux, par exemple au sein d’équipes, d’organisations et de collaborations interorganisationnelles. Les processus de gestion du changement, comme le besoin d’intégration entre les équipes de soins de santé, nécessitent parfois un leadership partagé. D’un autre côté, comme je l’ai mentionné, le leadership partagé n’est pas forcément une panacée. Il n’y a pas de formule magique pour savoir quand et comment le leadership peut être partagé et quel type de leadership collectif convient dans un contexte donné de changement organisationnel. Ce sont des problèmes complexes observés au sein des organismes de santé qui restent encore à résoudre.
- Catégorie : Futurs diplômés
Si vous passez par le pavillon Desmarais pendant la fin de semaine du 28-29 janvier, nous vous invitons à aller jeter un coup d’œil à l’intérieur de l’édifice, qui sera bondé d’étudiants. Ces 400 étudiants, provenant de onze universités de tout l’Est du Canada, se réuniront à l’École de gestion Telfer pour Omnium Financier, une compétition d’étude de cas.
Ce genre de compétition offre aux étudiants l’opportunité de résoudre un cas académique dans une période de trois heures, et de préparer une recommandation qui doit ensuite être présentée à un panel de juges qualifiés. Dans le cas de l’Omnium Financier, les étudiants présentent des cas en finance et en comptabilité. Le thème de #OF2017, intitulé « D’un océan à l’autre », permettra aux participants de découvrir l’histoire et les valeurs du Canada et de célébrer le 150e anniversaire de la Confédération.
On ne peut pas parler d’étudiants dévoués sans mentionner le comité organisateur. Rangée arrière, de la gauche à la droite : Samuel Soucy (VP - logistiques), Joshua Ayer (VP - communications), Philippe Moore (Directeur - logistiques), Kevin Saumure (VP - commandites), Ryan Rahman (VP - finance). Rangée du milieu : Katarina Mrkela (VP - academie et finance), Kassandra Tannouri (Directrice - logistiques). Rangée du bas : Miranda Taing (VP - marketing), Kim Angèle Vallières (Présidente), Andrée-Anne Martel (VP - academie et comptabilité) et Sarah Morin (Directrice - traductions).
L’Université d’Ottawa et l’École de gestion Telfer tiennent à souhaiter la bienvenue aux participants de l’Omnium Financier. Au plaisir de vous accueillir sur le campus le 28 janvier et de vous permettre de vivre ce qui sera sûrement une fin de semaine inoubliable. Quel bel ajout aux célébrations du 10e anniversaire de la désignation du nom de l’École Telfer!
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